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Pomponette
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Thuro

Thuro


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MessageSujet: Re: Continuez l'histoire !   Continuez l'histoire ! - Page 3 EmptyLun 8 Déc - 19:58

Il était une fois un Ogre qui jouait du banjo, qui vivait dans une belle clairière près d'un Lac. De ses journées, il ne faisait rien d'autre que tuer des lapins et autres petits mammifères pour se nourrir. Mais par dessus tout, il aimait manger ses poux, qui étaient vraiment très bons, et aussi boire beaucoup d'alcool pour vomir sur des animaux. Mais, aujourd'hui, il avait décidé de changer de programme ! En effet, un Ogre drogué lui avait raconté qu'en ce moment, en ville, trainait une femme à barbe qui recherchait des phallus dansant la javanaise. L'Ogre se mit aussitôt à rechercher les phallus dans toute la forêt, et tomba sur un hôtel sacrificiel. "Couilles alors, j'ai perdu ma bite !", s'écria-t-il. Il faut dire que l'émasculation était plus qu'un art à cette époque, et que bien des êtres la méritait. Il était rare de se la faire ainsi couper sans que le sang ne se répande sur la terre et fasse ainsi pousser des arbres à bites. Ainsi, comme le dit le proverbe: "un phallus de perdu, dix queues de retrouvées", mais dans ce cas point de sang, et notre Ogre dût alors se rendre chez la Grande Prêtresse de la phallusette pour avoir une chance de retrouver un jour son membre bien aimé. Arrivant chez la phalusette, il s'incline galamment devant elle (et non, ne lui fait nullement le cuni tant attendu) et lui présente ses hommages :
"- Bien le bonjour je vous souhaite, ô belle phallusette, je suis venu vous voir pour un petit (enfin pas si petit que ça) problème."
"- Je t'écoute, humble voyageur, et j'espère pouvoir te venir en aide dans ta quête."
"- Comment dire ? C'est qu'c'est plutôt embarrassant... on m'a pour faire simple tranchouillé le noeud (alors que j'en cherchais un -dansant la javanaise- d'ailleurs), et j'osais espérer que vous sauriez m'aider à le retrouver."
"- Oh, il suffit fort simplement qu'elle repousse, et ce en trouvant l'ogresse qui, seule au monde, pourra te faire bander comme un yak!"
L'ogre se dit que l'une des personnes qui guidait son destin était décidément très portée sur la chose, et entreprit de trouver l'ogresse susdite, abandonnant pour quelque temps sa quête d'appendice génital remuant de manière ridicule pour le compte d'une grognasse hyperpileuse. Il se dirigea donc vers l'école la plus proche, parce que ce que ne dit point l'histoire, c'est que les ogres ont des penchants pédophiles.
Il fit des avances à quelques enfants et elfaons (petits d'elfes) mais, sans phallus, le cœur n'y était pas. Il se rappela alors qu'il devait pécho de l'ogresse et alla voir sa mère car après tout, le complexe d'Oedipe a déjà fait ses preuves. Sa mère, prête à tout pour son fils, fit œuvre de tous ses talents linguaux et labiaux sur le moignon restant, mais rien à faire ! Le haricot magique ne vint pas à pousser. Dans un mouvement de colère, il attrapa sa mère, la fourra (avec un ognon, pour le goût) et la mit au four: au moins, s'il ne réussissait pas à retrouver son zboub, il aurait un plat chaud prêt à le réconforter. Alors que le temps de cuisson allait arriver à son terme (une ogresse de 200 livres, thermostat 7, 2h au four), la soeur de l'ogre - que nous appellerons Catherine, en hommage à Catherine de Médicis qui était pas mal velue elle aussi - bref, la soeur de Catherine - qui rentrait des cours du soir de danse au beurre - débarqua. Toute luisante comme ça, en plus de l'odeur alléchante de Maman aux p'tits oignons, Catherine bava sur sa soeur ces quelques mots : "ça sent la mouille! bordel de queue de pompe à merde!"
La soeur, choquée dans sa pudeur, courut vers la méga-jacuzzi-d'la-mort-qui-tue et se laissa glisser dans le doucereux réconfort des eaux chaudes et bouillonantes. Alors qu'elle commençait à se caresser doucement - pour se débarasser du vieux beurre rance utilisé en cours de danse au beurre demi-sel breton fermier depuis 1878 (disponible dans toutes les bonnes crèmeries !) - alors qu'elle commençait à se détartiner donc, Catherine entra avec une discrétion impressionnante pour un ogre de sa corpulence, un mixer à la main. Et ce qui devait arriver, arriva... Il ripa sur sa soeur encore un peu luisante de beurre et s'assomma sur le rebord du jacuzzi. Le mixer quant à lui, s'éteint en plein vol mais, cette dégénérée de soeur, Murielle, se précipita pour le récupérer avant sa chute, et au moment où elle le récupéra, elle se souvint d'un dicton aux allures scabreuses, tendancieuses, et d'un secret se perpétuant de mères en filles : "Mixe un jour... mixe toujours ". Elle changea l'embout de celui-ci afin d'obtenir un instrument de plaisir, et ainsi changé, Murielle se mit à laver la voiture de son père sans plus se fatiguer à astiquer.
Et pendant ce temps là, dans le jacuzzi, Catherine - l'ogre donc, pour ceux qui auraient pas suivi - reprenait ses esprits. Un odeur de brûlé terrible, poignante ! oppressante ! lui parvenait directement au groin. Il se précipita vers le four aux belles dimensions tout de briques dont l'une était fendue, et se brûla les doigts en voulant saisir le ragoût de Maman.
Il prit donc les maniques de sa maman pour sortir le ragoût de maman. Ce faisant, il chantonnait une chanson de son enfance : "Le ragoût de maman, c'est lui qu'on aime tant !"
Quand tout d'un coup, une vache volante passa par la fenêtre, déséquilibra le pauvre Catherine encombré du ragoût, et Cath, Maman, et Vavache se retrouvèrent à Laputa, le monde magique des vaches sacrées volantes. Sous la conduire de Babar - le dieu à tête de loutre - les vaches sacrées volantes surveillent de loin le monde des ogres, et, parfois, interviennent quand la situation le requiert. S'essuyant le visage recouvert de bouts de maman, Catherine leva les yeux et vit un escargot borgne sur la croupe de Vavache qui dansait la carioca.
Et là, devant les yeux ébahis de notre pauvre ogre au prénom mal choisi, un spectacle étrange commença : Vavache se mit sur ses papattes arrières, pris la main de Catherine, et, le regardant dans les yeux, lui dit ces mots : "Tu pues l'mort, mais t'as d'beaux yeux, mon chou. Dansons la javanaise, j'ai le sabot plus léger que le pas d'un elfe."
TIIIIILT : javanaise, eunuque, phallusette, retrouver une virilité perdue sur l'HÔTEL sacrificiel ! "Nom d'un vibromixer, ma quê(-quet)te !", s'écrit-il.
Notre Ogre bien aimé quitta alors Vavache, les yeux embués de larmes, et entrepris de se casser de Laputa, vu que visiblement il n'allait pas trouver là-bas l'ogresse qui saurait lui dresser le bois comme il faut. Il se rendit donc au marché de Noël (de Paris ?) afin de demander un coup de main au Père Noël, bien qu'il n'ait pas été un gentiment p'tit garçon. Entre parenthèses, précisons que le père noël s'était bizarrement taillé une réputation dans son célèbre "Dressage de phallus". Le père Noël, comprenant le malheur du méchant ogre, décida de l'aider tout de même: "écoute mon garçon, je ne pourrai pas trouver l'ogresse que tu cherche, mais laisse-moi tester une autre solution. Je vais t'enculer profond jusqu'au nombril, et tu frétilleras tellement de la prostate que normalement...
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Nig




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Age : 54
Date d'inscription : 06/12/2008

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MessageSujet: Re: Continuez l'histoire !   Continuez l'histoire ! - Page 3 EmptyLun 8 Déc - 20:10

Il était une fois un Ogre qui jouait du banjo, qui vivait dans une belle clairière près d'un Lac. De ses journées, il ne faisait rien d'autre que tuer des lapins et autres petits mammifères pour se nourrir. Mais par dessus tout, il aimait manger ses poux, qui étaient vraiment très bons, et aussi boire beaucoup d'alcool pour vomir sur des animaux. Mais, aujourd'hui, il avait décidé de changer de programme ! En effet, un Ogre drogué lui avait raconté qu'en ce moment, en ville, trainait une femme à barbe qui recherchait des phallus dansant la javanaise. L'Ogre se mit aussitôt à rechercher les phallus dans toute la forêt, et tomba sur un hôtel sacrificiel. "Couilles alors, j'ai perdu ma bite !", s'écria-t-il. Il faut dire que l'émasculation était plus qu'un art à cette époque, et que bien des êtres la méritait. Il était rare de se la faire ainsi couper sans que le sang ne se répande sur la terre et fasse ainsi pousser des arbres à bites. Ainsi, comme le dit le proverbe: "un phallus de perdu, dix queues de retrouvées", mais dans ce cas point de sang, et notre Ogre dût alors se rendre chez la Grande Prêtresse de la phallusette pour avoir une chance de retrouver un jour son membre bien aimé. Arrivant chez la phalusette, il s'incline galamment devant elle (et non, ne lui fait nullement le cuni tant attendu) et lui présente ses hommages :
"- Bien le bonjour je vous souhaite, ô belle phallusette, je suis venu vous voir pour un petit (enfin pas si petit que ça) problème."
"- Je t'écoute, humble voyageur, et j'espère pouvoir te venir en aide dans ta quête."
"- Comment dire ? C'est qu'c'est plutôt embarrassant... on m'a pour faire simple tranchouillé le noeud (alors que j'en cherchais un -dansant la javanaise- d'ailleurs), et j'osais espérer que vous sauriez m'aider à le retrouver."
"- Oh, il suffit fort simplement qu'elle repousse, et ce en trouvant l'ogresse qui, seule au monde, pourra te faire bander comme un yak!"
L'ogre se dit que l'une des personnes qui guidait son destin était décidément très portée sur la chose, et entreprit de trouver l'ogresse susdite, abandonnant pour quelque temps sa quête d'appendice génital remuant de manière ridicule pour le compte d'une grognasse hyperpileuse. Il se dirigea donc vers l'école la plus proche, parce que ce que ne dit point l'histoire, c'est que les ogres ont des penchants pédophiles.
Il fit des avances à quelques enfants et elfaons (petits d'elfes) mais, sans phallus, le cœur n'y était pas. Il se rappela alors qu'il devait pécho de l'ogresse et alla voir sa mère car après tout, le complexe d'Oedipe a déjà fait ses preuves. Sa mère, prête à tout pour son fils, fit œuvre de tous ses talents linguaux et labiaux sur le moignon restant, mais rien à faire ! Le haricot magique ne vint pas à pousser. Dans un mouvement de colère, il attrapa sa mère, la fourra (avec un ognon, pour le goût) et la mit au four: au moins, s'il ne réussissait pas à retrouver son zboub, il aurait un plat chaud prêt à le réconforter. Alors que le temps de cuisson allait arriver à son terme (une ogresse de 200 livres, thermostat 7, 2h au four), la soeur de l'ogre - que nous appellerons Catherine, en hommage à Catherine de Médicis qui était pas mal velue elle aussi - bref, la soeur de Catherine - qui rentrait des cours du soir de danse au beurre - débarqua. Toute luisante comme ça, en plus de l'odeur alléchante de Maman aux p'tits oignons, Catherine bava sur sa soeur ces quelques mots : "ça sent la mouille! bordel de queue de pompe à merde!"
La soeur, choquée dans sa pudeur, courut vers la méga-jacuzzi-d'la-mort-qui-tue et se laissa glisser dans le doucereux réconfort des eaux chaudes et bouillonantes. Alors qu'elle commençait à se caresser doucement - pour se débarasser du vieux beurre rance utilisé en cours de danse au beurre demi-sel breton fermier depuis 1878 (disponible dans toutes les bonnes crèmeries !) - alors qu'elle commençait à se détartiner donc, Catherine entra avec une discrétion impressionnante pour un ogre de sa corpulence, un mixer à la main. Et ce qui devait arriver, arriva... Il ripa sur sa soeur encore un peu luisante de beurre et s'assomma sur le rebord du jacuzzi. Le mixer quant à lui, s'éteint en plein vol mais, cette dégénérée de soeur, Murielle, se précipita pour le récupérer avant sa chute, et au moment où elle le récupéra, elle se souvint d'un dicton aux allures scabreuses, tendancieuses, et d'un secret se perpétuant de mères en filles : "Mixe un jour... mixe toujours ". Elle changea l'embout de celui-ci afin d'obtenir un instrument de plaisir, et ainsi changé, Murielle se mit à laver la voiture de son père sans plus se fatiguer à astiquer.
Et pendant ce temps là, dans le jacuzzi, Catherine - l'ogre donc, pour ceux qui auraient pas suivi - reprenait ses esprits. Un odeur de brûlé terrible, poignante ! oppressante ! lui parvenait directement au groin. Il se précipita vers le four aux belles dimensions tout de briques dont l'une était fendue, et se brûla les doigts en voulant saisir le ragoût de Maman.
Il prit donc les maniques de sa maman pour sortir le ragoût de maman. Ce faisant, il chantonnait une chanson de son enfance : "Le ragoût de maman, c'est lui qu'on aime tant !"
Quand tout d'un coup, une vache volante passa par la fenêtre, déséquilibra le pauvre Catherine encombré du ragoût, et Cath, Maman, et Vavache se retrouvèrent à Laputa, le monde magique des vaches sacrées volantes. Sous la conduire de Babar - le dieu à tête de loutre - les vaches sacrées volantes surveillent de loin le monde des ogres, et, parfois, interviennent quand la situation le requiert. S'essuyant le visage recouvert de bouts de maman, Catherine leva les yeux et vit un escargot borgne sur la croupe de Vavache qui dansait la carioca.
Et là, devant les yeux ébahis de notre pauvre ogre au prénom mal choisi, un spectacle étrange commença : Vavache se mit sur ses papattes arrières, pris la main de Catherine, et, le regardant dans les yeux, lui dit ces mots : "Tu pues l'mort, mais t'as d'beaux yeux, mon chou. Dansons la javanaise, j'ai le sabot plus léger que le pas d'un elfe."
TIIIIILT : javanaise, eunuque, phallusette, retrouver une virilité perdue sur l'HÔTEL sacrificiel ! "Nom d'un vibromixer, ma quê(-quet)te !", s'écrit-il.
Notre Ogre bien aimé quitta alors Vavache, les yeux embués de larmes, et entrepris de se casser de Laputa, vu que visiblement il n'allait pas trouver là-bas l'ogresse qui saurait lui dresser le bois comme il faut. Il se rendit donc au marché de Noël (de Paris ?) afin de demander un coup de main au Père Noël, bien qu'il n'ait pas été un gentiment p'tit garçon. Entre parenthèses, précisons que le père noël s'était bizarrement taillé une réputation dans son célèbre "Dressage de phallus". Le père Noël, comprenant le malheur du méchant ogre, décida de l'aider tout de même: "écoute mon garçon, je ne pourrai pas trouver l'ogresse que tu cherche, mais laisse-moi tester une autre solution. Je vais t'enculer profond jusqu'au nombril, et tu frétilleras tellement de la prostate que normalement, en théorie, si tout se passe bien, et si Rudolphe le renne au nez rouge ne vient pas foutre sa merde, bref, tu devrais retrouver ton ptit bout. En plus ça tombe bien, j'ai une nouvelle marque de lubrifiant ultime à tester !"
Sur ces mots, Catherine...
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Pomponette

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MessageSujet: Re: Continuez l'histoire !   Continuez l'histoire ! - Page 3 EmptyLun 8 Déc - 20:16

Il était une fois un Ogre qui jouait du banjo, qui vivait dans une belle clairière près d'un Lac. De ses journées, il ne faisait rien d'autre que tuer des lapins et autres petits mammifères pour se nourrir. Mais par dessus tout, il aimait manger ses poux, qui étaient vraiment très bons, et aussi boire beaucoup d'alcool pour vomir sur des animaux. Mais, aujourd'hui, il avait décidé de changer de programme ! En effet, un Ogre drogué lui avait raconté qu'en ce moment, en ville, trainait une femme à barbe qui recherchait des phallus dansant la javanaise. L'Ogre se mit aussitôt à rechercher les phallus dans toute la forêt, et tomba sur un hôtel sacrificiel. "Couilles alors, j'ai perdu ma bite !", s'écria-t-il. Il faut dire que l'émasculation était plus qu'un art à cette époque, et que bien des êtres la méritait. Il était rare de se la faire ainsi couper sans que le sang ne se répande sur la terre et fasse ainsi pousser des arbres à bites. Ainsi, comme le dit le proverbe: "un phallus de perdu, dix queues de retrouvées", mais dans ce cas point de sang, et notre Ogre dût alors se rendre chez la Grande Prêtresse de la phallusette pour avoir une chance de retrouver un jour son membre bien aimé. Arrivant chez la phalusette, il s'incline galamment devant elle (et non, ne lui fait nullement le cuni tant attendu) et lui présente ses hommages :
"- Bien le bonjour je vous souhaite, ô belle phallusette, je suis venu vous voir pour un petit (enfin pas si petit que ça) problème."
"- Je t'écoute, humble voyageur, et j'espère pouvoir te venir en aide dans ta quête."
"- Comment dire ? C'est qu'c'est plutôt embarrassant... on m'a pour faire simple tranchouillé le noeud (alors que j'en cherchais un -dansant la javanaise- d'ailleurs), et j'osais espérer que vous sauriez m'aider à le retrouver."
"- Oh, il suffit fort simplement qu'elle repousse, et ce en trouvant l'ogresse qui, seule au monde, pourra te faire bander comme un yak!"
L'ogre se dit que l'une des personnes qui guidait son destin était décidément très portée sur la chose, et entreprit de trouver l'ogresse susdite, abandonnant pour quelque temps sa quête d'appendice génital remuant de manière ridicule pour le compte d'une grognasse hyperpileuse. Il se dirigea donc vers l'école la plus proche, parce que ce que ne dit point l'histoire, c'est que les ogres ont des penchants pédophiles.
Il fit des avances à quelques enfants et elfaons (petits d'elfes) mais, sans phallus, le cœur n'y était pas. Il se rappela alors qu'il devait pécho de l'ogresse et alla voir sa mère car après tout, le complexe d'Oedipe a déjà fait ses preuves. Sa mère, prête à tout pour son fils, fit œuvre de tous ses talents linguaux et labiaux sur le moignon restant, mais rien à faire ! Le haricot magique ne vint pas à pousser. Dans un mouvement de colère, il attrapa sa mère, la fourra (avec un ognon, pour le goût) et la mit au four: au moins, s'il ne réussissait pas à retrouver son zboub, il aurait un plat chaud prêt à le réconforter. Alors que le temps de cuisson allait arriver à son terme (une ogresse de 200 livres, thermostat 7, 2h au four), la soeur de l'ogre - que nous appellerons Catherine, en hommage à Catherine de Médicis qui était pas mal velue elle aussi - bref, la soeur de Catherine - qui rentrait des cours du soir de danse au beurre - débarqua. Toute luisante comme ça, en plus de l'odeur alléchante de Maman aux p'tits oignons, Catherine bava sur sa soeur ces quelques mots : "ça sent la mouille! bordel de queue de pompe à merde!"
La soeur, choquée dans sa pudeur, courut vers la méga-jacuzzi-d'la-mort-qui-tue et se laissa glisser dans le doucereux réconfort des eaux chaudes et bouillonantes. Alors qu'elle commençait à se caresser doucement - pour se débarasser du vieux beurre rance utilisé en cours de danse au beurre demi-sel breton fermier depuis 1878 (disponible dans toutes les bonnes crèmeries !) - alors qu'elle commençait à se détartiner donc, Catherine entra avec une discrétion impressionnante pour un ogre de sa corpulence, un mixer à la main. Et ce qui devait arriver, arriva... Il ripa sur sa soeur encore un peu luisante de beurre et s'assomma sur le rebord du jacuzzi. Le mixer quant à lui, s'éteint en plein vol mais, cette dégénérée de soeur, Murielle, se précipita pour le récupérer avant sa chute, et au moment où elle le récupéra, elle se souvint d'un dicton aux allures scabreuses, tendancieuses, et d'un secret se perpétuant de mères en filles : "Mixe un jour... mixe toujours ". Elle changea l'embout de celui-ci afin d'obtenir un instrument de plaisir, et ainsi changé, Murielle se mit à laver la voiture de son père sans plus se fatiguer à astiquer.
Et pendant ce temps là, dans le jacuzzi, Catherine - l'ogre donc, pour ceux qui auraient pas suivi - reprenait ses esprits. Un odeur de brûlé terrible, poignante ! oppressante ! lui parvenait directement au groin. Il se précipita vers le four aux belles dimensions tout de briques dont l'une était fendue, et se brûla les doigts en voulant saisir le ragoût de Maman.
Il prit donc les maniques de sa maman pour sortir le ragoût de maman. Ce faisant, il chantonnait une chanson de son enfance : "Le ragoût de maman, c'est lui qu'on aime tant !"
Quand tout d'un coup, une vache volante passa par la fenêtre, déséquilibra le pauvre Catherine encombré du ragoût, et Cath, Maman, et Vavache se retrouvèrent à Laputa, le monde magique des vaches sacrées volantes. Sous la conduire de Babar - le dieu à tête de loutre - les vaches sacrées volantes surveillent de loin le monde des ogres, et, parfois, interviennent quand la situation le requiert. S'essuyant le visage recouvert de bouts de maman, Catherine leva les yeux et vit un escargot borgne sur la croupe de Vavache qui dansait la carioca.
Et là, devant les yeux ébahis de notre pauvre ogre au prénom mal choisi, un spectacle étrange commença : Vavache se mit sur ses papattes arrières, pris la main de Catherine, et, le regardant dans les yeux, lui dit ces mots : "Tu pues l'mort, mais t'as d'beaux yeux, mon chou. Dansons la javanaise, j'ai le sabot plus léger que le pas d'un elfe."
TIIIIILT : javanaise, eunuque, phallusette, retrouver une virilité perdue sur l'HÔTEL sacrificiel ! "Nom d'un vibromixer, ma quê(-quet)te !", s'écrit-il.
Notre Ogre bien aimé quitta alors Vavache, les yeux embués de larmes, et entrepris de se casser de Laputa, vu que visiblement il n'allait pas trouver là-bas l'ogresse qui saurait lui dresser le bois comme il faut. Il se rendit donc au marché de Noël (de Paris ?) afin de demander un coup de main au Père Noël, bien qu'il n'ait pas été un gentiment p'tit garçon. Entre parenthèses, précisons que le père noël s'était bizarrement taillé une réputation dans son célèbre "Dressage de phallus". Le père Noël, comprenant le malheur du méchant ogre, décida de l'aider tout de même: "écoute mon garçon, je ne pourrai pas trouver l'ogresse que tu cherche, mais laisse-moi tester une autre solution. Je vais t'enculer profond jusqu'au nombril, et tu frétilleras tellement de la prostate que normalement, en théorie, si tout se passe bien, et si Rudolphe le renne au nez rouge ne vient pas foutre sa merde, bref, tu devrais retrouver ton ptit bout. En plus ça tombe bien, j'ai une nouvelle marque de lubrifiant ultime à tester !"
Sur ces mots, Catherine, embarquant le sapin, la hotte et le lubrifiant gravierleux (qui sait si ce ne sera pas utile dans la suite de l'aventure), prit le traineau du Pervers Noël mené par le sieur Rudolphe et...
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Nig




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MessageSujet: Re: Continuez l'histoire !   Continuez l'histoire ! - Page 3 EmptyLun 8 Déc - 23:21

[quote="Pomponette"]Il était une fois un Ogre qui jouait du banjo, qui vivait dans une belle clairière près d'un Lac. De ses journées, il ne faisait rien d'autre que tuer des lapins et autres petits mammifères pour se nourrir. Mais par dessus tout, il aimait manger ses poux, qui étaient vraiment très bons, et aussi boire beaucoup d'alcool pour vomir sur des animaux. Mais, aujourd'hui, il avait décidé de changer de programme ! En effet, un Ogre drogué lui avait raconté qu'en ce moment, en ville, trainait une femme à barbe qui recherchait des phallus dansant la javanaise. L'Ogre se mit aussitôt à rechercher les phallus dans toute la forêt, et tomba sur un hôtel sacrificiel. "Couilles alors, j'ai perdu ma bite !", s'écria-t-il. Il faut dire que l'émasculation était plus qu'un art à cette époque, et que bien des êtres la méritait. Il était rare de se la faire ainsi couper sans que le sang ne se répande sur la terre et fasse ainsi pousser des arbres à bites. Ainsi, comme le dit le proverbe: "un phallus de perdu, dix queues de retrouvées", mais dans ce cas point de sang, et notre Ogre dût alors se rendre chez la Grande Prêtresse de la phallusette pour avoir une chance de retrouver un jour son membre bien aimé. Arrivant chez la phalusette, il s'incline galamment devant elle (et non, ne lui fait nullement le cuni tant attendu) et lui présente ses hommages :
"- Bien le bonjour je vous souhaite, ô belle phallusette, je suis venu vous voir pour un petit (enfin pas si petit que ça) problème."
"- Je t'écoute, humble voyageur, et j'espère pouvoir te venir en aide dans ta quête."
"- Comment dire ? C'est qu'c'est plutôt embarrassant... on m'a pour faire simple tranchouillé le noeud (alors que j'en cherchais un -dansant la javanaise- d'ailleurs), et j'osais espérer que vous sauriez m'aider à le retrouver."
"- Oh, il suffit fort simplement qu'elle repousse, et ce en trouvant l'ogresse qui, seule au monde, pourra te faire bander comme un yak!"
L'ogre se dit que l'une des personnes qui guidait son destin était décidément très portée sur la chose, et entreprit de trouver l'ogresse susdite, abandonnant pour quelque temps sa quête d'appendice génital remuant de manière ridicule pour le compte d'une grognasse hyperpileuse. Il se dirigea donc vers l'école la plus proche, parce que ce que ne dit point l'histoire, c'est que les ogres ont des penchants pédophiles.
Il fit des avances à quelques enfants et elfaons (petits d'elfes) mais, sans phallus, le cœur n'y était pas. Il se rappela alors qu'il devait pécho de l'ogresse et alla voir sa mère car après tout, le complexe d'Oedipe a déjà fait ses preuves. Sa mère, prête à tout pour son fils, fit œuvre de tous ses talents linguaux et labiaux sur le moignon restant, mais rien à faire ! Le haricot magique ne vint pas à pousser. Dans un mouvement de colère, il attrapa sa mère, la fourra (avec un ognon, pour le goût) et la mit au four: au moins, s'il ne réussissait pas à retrouver son zboub, il aurait un plat chaud prêt à le réconforter. Alors que le temps de cuisson allait arriver à son terme (une ogresse de 200 livres, thermostat 7, 2h au four), la soeur de l'ogre - que nous appellerons Catherine, en hommage à Catherine de Médicis qui était pas mal velue elle aussi - bref, la soeur de Catherine - qui rentrait des cours du soir de danse au beurre - débarqua. Toute luisante comme ça, en plus de l'odeur alléchante de Maman aux p'tits oignons, Catherine bava sur sa soeur ces quelques mots : "ça sent la mouille! bordel de queue de pompe à merde!"
La soeur, choquée dans sa pudeur, courut vers la méga-jacuzzi-d'la-mort-qui-tue et se laissa glisser dans le doucereux réconfort des eaux chaudes et bouillonantes. Alors qu'elle commençait à se caresser doucement - pour se débarasser du vieux beurre rance utilisé en cours de danse au beurre demi-sel breton fermier depuis 1878 (disponible dans toutes les bonnes crèmeries !) - alors qu'elle commençait à se détartiner donc, Catherine entra avec une discrétion impressionnante pour un ogre de sa corpulence, un mixer à la main. Et ce qui devait arriver, arriva... Il ripa sur sa soeur encore un peu luisante de beurre et s'assomma sur le rebord du jacuzzi. Le mixer quant à lui, s'éteint en plein vol mais, cette dégénérée de soeur, Murielle, se précipita pour le récupérer avant sa chute, et au moment où elle le récupéra, elle se souvint d'un dicton aux allures scabreuses, tendancieuses, et d'un secret se perpétuant de mères en filles : "Mixe un jour... mixe toujours ". Elle changea l'embout de celui-ci afin d'obtenir un instrument de plaisir, et ainsi changé, Murielle se mit à laver la voiture de son père sans plus se fatiguer à astiquer.
Et pendant ce temps là, dans le jacuzzi, Catherine - l'ogre donc, pour ceux qui auraient pas suivi - reprenait ses esprits. Un odeur de brûlé terrible, poignante ! oppressante ! lui parvenait directement au groin. Il se précipita vers le four aux belles dimensions tout de briques dont l'une était fendue, et se brûla les doigts en voulant saisir le ragoût de Maman.
Il prit donc les maniques de sa maman pour sortir le ragoût de maman. Ce faisant, il chantonnait une chanson de son enfance : "Le ragoût de maman, c'est lui qu'on aime tant !"
Quand tout d'un coup, une vache volante passa par la fenêtre, déséquilibra le pauvre Catherine encombré du ragoût, et Cath, Maman, et Vavache se retrouvèrent à Laputa, le monde magique des vaches sacrées volantes. Sous la conduire de Babar - le dieu à tête de loutre - les vaches sacrées volantes surveillent de loin le monde des ogres, et, parfois, interviennent quand la situation le requiert. S'essuyant le visage recouvert de bouts de maman, Catherine leva les yeux et vit un escargot borgne sur la croupe de Vavache qui dansait la carioca.
Et là, devant les yeux ébahis de notre pauvre ogre au prénom mal choisi, un spectacle étrange commença : Vavache se mit sur ses papattes arrières, pris la main de Catherine, et, le regardant dans les yeux, lui dit ces mots : "Tu pues l'mort, mais t'as d'beaux yeux, mon chou. Dansons la javanaise, j'ai le sabot plus léger que le pas d'un elfe."
TIIIIILT : javanaise, eunuque, phallusette, retrouver une virilité perdue sur l'HÔTEL sacrificiel ! "Nom d'un vibromixer, ma quê(-quet)te !", s'écrit-il.
Notre Ogre bien aimé quitta alors Vavache, les yeux embués de larmes, et entrepris de se casser de Laputa, vu que visiblement il n'allait pas trouver là-bas l'ogresse qui saurait lui dresser le bois comme il faut. Il se rendit donc au marché de Noël (de Paris ?) afin de demander un coup de main au Père Noël, bien qu'il n'ait pas été un gentiment p'tit garçon. Entre parenthèses, précisons que le père noël s'était bizarrement taillé une réputation dans son célèbre "Dressage de phallus". Le père Noël, comprenant le malheur du méchant ogre, décida de l'aider tout de même: "écoute mon garçon, je ne pourrai pas trouver l'ogresse que tu cherche, mais laisse-moi tester une autre solution. Je vais t'enculer profond jusqu'au nombril, et tu frétilleras tellement de la prostate que normalement, en théorie, si tout se passe bien, et si Rudolphe le renne au nez rouge ne vient pas foutre sa merde, bref, tu devrais retrouver ton ptit bout. En plus ça tombe bien, j'ai une nouvelle marque de lubrifiant ultime à tester !"
Sur ces mots, Catherine, embarquant le sapin, la hotte et le lubrifiant gravierleux (qui sait si ce ne sera pas utile dans la suite de l'aventure), prit le traineau du Pervers Noël mené par le sieur Rudolphe et partit sur les bonnets de ski (c'est comme les chapeaux de roues mais en mode traineau) vers l'infini du ciel étoilé. "I'm on a hiiiiiiiighway to heeeeell !" beuglait le lecteur cd du traineau alors que Catherine décidait de sa nouvelle destination :
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Pomponette

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MessageSujet: Re: Continuez l'histoire !   Continuez l'histoire ! - Page 3 EmptyMar 9 Déc - 0:46

Il était une fois un Ogre qui jouait du banjo, qui vivait dans une belle clairière près d'un Lac. De ses journées, il ne faisait rien d'autre que tuer des lapins et autres petits mammifères pour se nourrir. Mais par dessus tout, il aimait manger ses poux, qui étaient vraiment très bons, et aussi boire beaucoup d'alcool pour vomir sur des animaux. Mais, aujourd'hui, il avait décidé de changer de programme ! En effet, un Ogre drogué lui avait raconté qu'en ce moment, en ville, trainait une femme à barbe qui recherchait des phallus dansant la javanaise. L'Ogre se mit aussitôt à rechercher les phallus dans toute la forêt, et tomba sur un hôtel sacrificiel. "Couilles alors, j'ai perdu ma bite !", s'écria-t-il. Il faut dire que l'émasculation était plus qu'un art à cette époque, et que bien des êtres la méritait. Il était rare de se la faire ainsi couper sans que le sang ne se répande sur la terre et fasse ainsi pousser des arbres à bites. Ainsi, comme le dit le proverbe: "un phallus de perdu, dix queues de retrouvées", mais dans ce cas point de sang, et notre Ogre dût alors se rendre chez la Grande Prêtresse de la phallusette pour avoir une chance de retrouver un jour son membre bien aimé. Arrivant chez la phalusette, il s'incline galamment devant elle (et non, ne lui fait nullement le cuni tant attendu) et lui présente ses hommages :
"- Bien le bonjour je vous souhaite, ô belle phallusette, je suis venu vous voir pour un petit (enfin pas si petit que ça) problème."
"- Je t'écoute, humble voyageur, et j'espère pouvoir te venir en aide dans ta quête."
"- Comment dire ? C'est qu'c'est plutôt embarrassant... on m'a pour faire simple tranchouillé le noeud (alors que j'en cherchais un -dansant la javanaise- d'ailleurs), et j'osais espérer que vous sauriez m'aider à le retrouver."
"- Oh, il suffit fort simplement qu'elle repousse, et ce en trouvant l'ogresse qui, seule au monde, pourra te faire bander comme un yak!"
L'ogre se dit que l'une des personnes qui guidait son destin était décidément très portée sur la chose, et entreprit de trouver l'ogresse susdite, abandonnant pour quelque temps sa quête d'appendice génital remuant de manière ridicule pour le compte d'une grognasse hyperpileuse. Il se dirigea donc vers l'école la plus proche, parce que ce que ne dit point l'histoire, c'est que les ogres ont des penchants pédophiles.
Il fit des avances à quelques enfants et elfaons (petits d'elfes) mais, sans phallus, le cœur n'y était pas. Il se rappela alors qu'il devait pécho de l'ogresse et alla voir sa mère car après tout, le complexe d'Oedipe a déjà fait ses preuves. Sa mère, prête à tout pour son fils, fit œuvre de tous ses talents linguaux et labiaux sur le moignon restant, mais rien à faire ! Le haricot magique ne vint pas à pousser. Dans un mouvement de colère, il attrapa sa mère, la fourra (avec un ognon, pour le goût) et la mit au four: au moins, s'il ne réussissait pas à retrouver son zboub, il aurait un plat chaud prêt à le réconforter. Alors que le temps de cuisson allait arriver à son terme (une ogresse de 200 livres, thermostat 7, 2h au four), la soeur de l'ogre - que nous appellerons Catherine, en hommage à Catherine de Médicis qui était pas mal velue elle aussi - bref, la soeur de Catherine - qui rentrait des cours du soir de danse au beurre - débarqua. Toute luisante comme ça, en plus de l'odeur alléchante de Maman aux p'tits oignons, Catherine bava sur sa soeur ces quelques mots : "ça sent la mouille! bordel de queue de pompe à merde!"
La soeur, choquée dans sa pudeur, courut vers la méga-jacuzzi-d'la-mort-qui-tue et se laissa glisser dans le doucereux réconfort des eaux chaudes et bouillonantes. Alors qu'elle commençait à se caresser doucement - pour se débarasser du vieux beurre rance utilisé en cours de danse au beurre demi-sel breton fermier depuis 1878 (disponible dans toutes les bonnes crèmeries !) - alors qu'elle commençait à se détartiner donc, Catherine entra avec une discrétion impressionnante pour un ogre de sa corpulence, un mixer à la main. Et ce qui devait arriver, arriva... Il ripa sur sa soeur encore un peu luisante de beurre et s'assomma sur le rebord du jacuzzi. Le mixer quant à lui, s'éteint en plein vol mais, cette dégénérée de soeur, Murielle, se précipita pour le récupérer avant sa chute, et au moment où elle le récupéra, elle se souvint d'un dicton aux allures scabreuses, tendancieuses, et d'un secret se perpétuant de mères en filles : "Mixe un jour... mixe toujours ". Elle changea l'embout de celui-ci afin d'obtenir un instrument de plaisir, et ainsi changé, Murielle se mit à laver la voiture de son père sans plus se fatiguer à astiquer.
Et pendant ce temps là, dans le jacuzzi, Catherine - l'ogre donc, pour ceux qui auraient pas suivi - reprenait ses esprits. Un odeur de brûlé terrible, poignante ! oppressante ! lui parvenait directement au groin. Il se précipita vers le four aux belles dimensions tout de briques dont l'une était fendue, et se brûla les doigts en voulant saisir le ragoût de Maman.
Il prit donc les maniques de sa maman pour sortir le ragoût de maman. Ce faisant, il chantonnait une chanson de son enfance : "Le ragoût de maman, c'est lui qu'on aime tant !"
Quand tout d'un coup, une vache volante passa par la fenêtre, déséquilibra le pauvre Catherine encombré du ragoût, et Cath, Maman, et Vavache se retrouvèrent à Laputa, le monde magique des vaches sacrées volantes. Sous la conduire de Babar - le dieu à tête de loutre - les vaches sacrées volantes surveillent de loin le monde des ogres, et, parfois, interviennent quand la situation le requiert. S'essuyant le visage recouvert de bouts de maman, Catherine leva les yeux et vit un escargot borgne sur la croupe de Vavache qui dansait la carioca.
Et là, devant les yeux ébahis de notre pauvre ogre au prénom mal choisi, un spectacle étrange commença : Vavache se mit sur ses papattes arrières, pris la main de Catherine, et, le regardant dans les yeux, lui dit ces mots : "Tu pues l'mort, mais t'as d'beaux yeux, mon chou. Dansons la javanaise, j'ai le sabot plus léger que le pas d'un elfe."
TIIIIILT : javanaise, eunuque, phallusette, retrouver une virilité perdue sur l'HÔTEL sacrificiel ! "Nom d'un vibromixer, ma quê(-quet)te !", s'écrit-il.
Notre Ogre bien aimé quitta alors Vavache, les yeux embués de larmes, et entrepris de se casser de Laputa, vu que visiblement il n'allait pas trouver là-bas l'ogresse qui saurait lui dresser le bois comme il faut. Il se rendit donc au marché de Noël (de Paris ?) afin de demander un coup de main au Père Noël, bien qu'il n'ait pas été un gentiment p'tit garçon. Entre parenthèses, précisons que le père noël s'était bizarrement taillé une réputation dans son célèbre "Dressage de phallus". Le père Noël, comprenant le malheur du méchant ogre, décida de l'aider tout de même: "écoute mon garçon, je ne pourrai pas trouver l'ogresse que tu cherche, mais laisse-moi tester une autre solution. Je vais t'enculer profond jusqu'au nombril, et tu frétilleras tellement de la prostate que normalement, en théorie, si tout se passe bien, et si Rudolphe le renne au nez rouge ne vient pas foutre sa merde, bref, tu devrais retrouver ton ptit bout. En plus ça tombe bien, j'ai une nouvelle marque de lubrifiant ultime à tester !"
Sur ces mots, Catherine, embarquant le sapin, la hotte et le lubrifiant gravierleux (qui sait si ce ne sera pas utile dans la suite de l'aventure), prit le traineau du Pervers Noël mené par le sieur Rudolphe et partit sur les bonnets de ski (c'est comme les chapeaux de roues mais en mode traineau) vers l'infini du ciel étoilé. "I'm on a hiiiiiiiighway to heeeeell !" beuglait le lecteur cd du traineau alors que Catherine décidait de sa nouvelle destination :
Le Jardin d'Eden. Quoi ? La première ogresse de la création est bien sortie de quelque part. Peut-être que l'originaire saura...
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MessageSujet: Re: Continuez l'histoire !   Continuez l'histoire ! - Page 3 EmptyMar 9 Déc - 1:35

Il était une fois un Ogre qui jouait du banjo, qui vivait dans une belle clairière près d'un Lac. De ses journées, il ne faisait rien d'autre que tuer des lapins et autres petits mammifères pour se nourrir. Mais par dessus tout, il aimait manger ses poux, qui étaient vraiment très bons, et aussi boire beaucoup d'alcool pour vomir sur des animaux. Mais, aujourd'hui, il avait décidé de changer de programme ! En effet, un Ogre drogué lui avait raconté qu'en ce moment, en ville, trainait une femme à barbe qui recherchait des phallus dansant la javanaise. L'Ogre se mit aussitôt à rechercher les phallus dans toute la forêt, et tomba sur un hôtel sacrificiel. "Couilles alors, j'ai perdu ma bite !", s'écria-t-il. Il faut dire que l'émasculation était plus qu'un art à cette époque, et que bien des êtres la méritait. Il était rare de se la faire ainsi couper sans que le sang ne se répande sur la terre et fasse ainsi pousser des arbres à bites. Ainsi, comme le dit le proverbe: "un phallus de perdu, dix queues de retrouvées", mais dans ce cas point de sang, et notre Ogre dût alors se rendre chez la Grande Prêtresse de la phallusette pour avoir une chance de retrouver un jour son membre bien aimé. Arrivant chez la phalusette, il s'incline galamment devant elle (et non, ne lui fait nullement le cuni tant attendu) et lui présente ses hommages :
"- Bien le bonjour je vous souhaite, ô belle phallusette, je suis venu vous voir pour un petit (enfin pas si petit que ça) problème."
"- Je t'écoute, humble voyageur, et j'espère pouvoir te venir en aide dans ta quête."
"- Comment dire ? C'est qu'c'est plutôt embarrassant... on m'a pour faire simple tranchouillé le noeud (alors que j'en cherchais un -dansant la javanaise- d'ailleurs), et j'osais espérer que vous sauriez m'aider à le retrouver."
"- Oh, il suffit fort simplement qu'elle repousse, et ce en trouvant l'ogresse qui, seule au monde, pourra te faire bander comme un yak!"
L'ogre se dit que l'une des personnes qui guidait son destin était décidément très portée sur la chose, et entreprit de trouver l'ogresse susdite, abandonnant pour quelque temps sa quête d'appendice génital remuant de manière ridicule pour le compte d'une grognasse hyperpileuse. Il se dirigea donc vers l'école la plus proche, parce que ce que ne dit point l'histoire, c'est que les ogres ont des penchants pédophiles.
Il fit des avances à quelques enfants et elfaons (petits d'elfes) mais, sans phallus, le cœur n'y était pas. Il se rappela alors qu'il devait pécho de l'ogresse et alla voir sa mère car après tout, le complexe d'Oedipe a déjà fait ses preuves. Sa mère, prête à tout pour son fils, fit œuvre de tous ses talents linguaux et labiaux sur le moignon restant, mais rien à faire ! Le haricot magique ne vint pas à pousser. Dans un mouvement de colère, il attrapa sa mère, la fourra (avec un ognon, pour le goût) et la mit au four: au moins, s'il ne réussissait pas à retrouver son zboub, il aurait un plat chaud prêt à le réconforter. Alors que le temps de cuisson allait arriver à son terme (une ogresse de 200 livres, thermostat 7, 2h au four), la soeur de l'ogre - que nous appellerons Catherine, en hommage à Catherine de Médicis qui était pas mal velue elle aussi - bref, la soeur de Catherine - qui rentrait des cours du soir de danse au beurre - débarqua. Toute luisante comme ça, en plus de l'odeur alléchante de Maman aux p'tits oignons, Catherine bava sur sa soeur ces quelques mots : "ça sent la mouille! bordel de queue de pompe à merde!"
La soeur, choquée dans sa pudeur, courut vers la méga-jacuzzi-d'la-mort-qui-tue et se laissa glisser dans le doucereux réconfort des eaux chaudes et bouillonantes. Alors qu'elle commençait à se caresser doucement - pour se débarasser du vieux beurre rance utilisé en cours de danse au beurre demi-sel breton fermier depuis 1878 (disponible dans toutes les bonnes crèmeries !) - alors qu'elle commençait à se détartiner donc, Catherine entra avec une discrétion impressionnante pour un ogre de sa corpulence, un mixer à la main. Et ce qui devait arriver, arriva... Il ripa sur sa soeur encore un peu luisante de beurre et s'assomma sur le rebord du jacuzzi. Le mixer quant à lui, s'éteint en plein vol mais, cette dégénérée de soeur, Murielle, se précipita pour le récupérer avant sa chute, et au moment où elle le récupéra, elle se souvint d'un dicton aux allures scabreuses, tendancieuses, et d'un secret se perpétuant de mères en filles : "Mixe un jour... mixe toujours ". Elle changea l'embout de celui-ci afin d'obtenir un instrument de plaisir, et ainsi changé, Murielle se mit à laver la voiture de son père sans plus se fatiguer à astiquer.
Et pendant ce temps là, dans le jacuzzi, Catherine - l'ogre donc, pour ceux qui auraient pas suivi - reprenait ses esprits. Un odeur de brûlé terrible, poignante ! oppressante ! lui parvenait directement au groin. Il se précipita vers le four aux belles dimensions tout de briques dont l'une était fendue, et se brûla les doigts en voulant saisir le ragoût de Maman.
Il prit donc les maniques de sa maman pour sortir le ragoût de maman. Ce faisant, il chantonnait une chanson de son enfance : "Le ragoût de maman, c'est lui qu'on aime tant !"
Quand tout d'un coup, une vache volante passa par la fenêtre, déséquilibra le pauvre Catherine encombré du ragoût, et Cath, Maman, et Vavache se retrouvèrent à Laputa, le monde magique des vaches sacrées volantes. Sous la conduire de Babar - le dieu à tête de loutre - les vaches sacrées volantes surveillent de loin le monde des ogres, et, parfois, interviennent quand la situation le requiert. S'essuyant le visage recouvert de bouts de maman, Catherine leva les yeux et vit un escargot borgne sur la croupe de Vavache qui dansait la carioca.
Et là, devant les yeux ébahis de notre pauvre ogre au prénom mal choisi, un spectacle étrange commença : Vavache se mit sur ses papattes arrières, pris la main de Catherine, et, le regardant dans les yeux, lui dit ces mots : "Tu pues l'mort, mais t'as d'beaux yeux, mon chou. Dansons la javanaise, j'ai le sabot plus léger que le pas d'un elfe."
TIIIIILT : javanaise, eunuque, phallusette, retrouver une virilité perdue sur l'HÔTEL sacrificiel ! "Nom d'un vibromixer, ma quê(-quet)te !", s'écrit-il.
Notre Ogre bien aimé quitta alors Vavache, les yeux embués de larmes, et entrepris de se casser de Laputa, vu que visiblement il n'allait pas trouver là-bas l'ogresse qui saurait lui dresser le bois comme il faut. Il se rendit donc au marché de Noël (de Paris ?) afin de demander un coup de main au Père Noël, bien qu'il n'ait pas été un gentiment p'tit garçon. Entre parenthèses, précisons que le père noël s'était bizarrement taillé une réputation dans son célèbre "Dressage de phallus". Le père Noël, comprenant le malheur du méchant ogre, décida de l'aider tout de même: "écoute mon garçon, je ne pourrai pas trouver l'ogresse que tu cherche, mais laisse-moi tester une autre solution. Je vais t'enculer profond jusqu'au nombril, et tu frétilleras tellement de la prostate que normalement, en théorie, si tout se passe bien, et si Rudolphe le renne au nez rouge ne vient pas foutre sa merde, bref, tu devrais retrouver ton ptit bout. En plus ça tombe bien, j'ai une nouvelle marque de lubrifiant ultime à tester !"
Sur ces mots, Catherine, embarquant le sapin, la hotte et le lubrifiant gravierleux (qui sait si ce ne sera pas utile dans la suite de l'aventure), prit le traineau du Pervers Noël mené par le sieur Rudolphe et partit sur les bonnets de ski (c'est comme les chapeaux de roues mais en mode traineau) vers l'infini du ciel étoilé. "I'm on a hiiiiiiiighway to heeeeell !" beuglait le lecteur cd du traineau alors que Catherine décidait de sa nouvelle destination :
Le Jardin d'Eden. Quoi ? La première ogresse de la création est bien sortie de quelque part. Peut-être que l'originaire saura redonner son rang de vrai mâle à ce pauvre Catherine (qui a une bonne excuse pour avoir enfourné sa mère vu le nom qu'elle lui a donné). Il demanda donc à Rudolphe et à ses potes les rennes de se mettre en route. Après un long voyage, le traineau arriva devant un immense complexe hotelier avec un grand panneau indiquant : "Le Jardin des Naines".
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Érinyes

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MessageSujet: Re: Continuez l'histoire !   Continuez l'histoire ! - Page 3 EmptyMar 9 Déc - 3:26

Il était une fois un Ogre qui jouait du banjo, qui vivait dans une belle clairière près d'un Lac. De ses journées, il ne faisait rien d'autre que tuer des lapins et autres petits mammifères pour se nourrir. Mais par dessus tout, il aimait manger ses poux, qui étaient vraiment très bons, et aussi boire beaucoup d'alcool pour vomir sur des animaux. Mais, aujourd'hui, il avait décidé de changer de programme ! En effet, un Ogre drogué lui avait raconté qu'en ce moment, en ville, trainait une femme à barbe qui recherchait des phallus dansant la javanaise. L'Ogre se mit aussitôt à rechercher les phallus dans toute la forêt, et tomba sur un hôtel sacrificiel. "Couilles alors, j'ai perdu ma bite !", s'écria-t-il. Il faut dire que l'émasculation était plus qu'un art à cette époque, et que bien des êtres la méritait. Il était rare de se la faire ainsi couper sans que le sang ne se répande sur la terre et fasse ainsi pousser des arbres à bites. Ainsi, comme le dit le proverbe: "un phallus de perdu, dix queues de retrouvées", mais dans ce cas point de sang, et notre Ogre dût alors se rendre chez la Grande Prêtresse de la phallusette pour avoir une chance de retrouver un jour son membre bien aimé. Arrivant chez la phalusette, il s'incline galamment devant elle (et non, ne lui fait nullement le cuni tant attendu) et lui présente ses hommages :
"- Bien le bonjour je vous souhaite, ô belle phallusette, je suis venu vous voir pour un petit (enfin pas si petit que ça) problème."
"- Je t'écoute, humble voyageur, et j'espère pouvoir te venir en aide dans ta quête."
"- Comment dire ? C'est qu'c'est plutôt embarrassant... on m'a pour faire simple tranchouillé le noeud (alors que j'en cherchais un -dansant la javanaise- d'ailleurs), et j'osais espérer que vous sauriez m'aider à le retrouver."
"- Oh, il suffit fort simplement qu'elle repousse, et ce en trouvant l'ogresse qui, seule au monde, pourra te faire bander comme un yak!"
L'ogre se dit que l'une des personnes qui guidait son destin était décidément très portée sur la chose, et entreprit de trouver l'ogresse susdite, abandonnant pour quelque temps sa quête d'appendice génital remuant de manière ridicule pour le compte d'une grognasse hyperpileuse. Il se dirigea donc vers l'école la plus proche, parce que ce que ne dit point l'histoire, c'est que les ogres ont des penchants pédophiles.
Il fit des avances à quelques enfants et elfaons (petits d'elfes) mais, sans phallus, le cœur n'y était pas. Il se rappela alors qu'il devait pécho de l'ogresse et alla voir sa mère car après tout, le complexe d'Oedipe a déjà fait ses preuves. Sa mère, prête à tout pour son fils, fit œuvre de tous ses talents linguaux et labiaux sur le moignon restant, mais rien à faire ! Le haricot magique ne vint pas à pousser. Dans un mouvement de colère, il attrapa sa mère, la fourra (avec un ognon, pour le goût) et la mit au four: au moins, s'il ne réussissait pas à retrouver son zboub, il aurait un plat chaud prêt à le réconforter. Alors que le temps de cuisson allait arriver à son terme (une ogresse de 200 livres, thermostat 7, 2h au four), la soeur de l'ogre - que nous appellerons Catherine, en hommage à Catherine de Médicis qui était pas mal velue elle aussi - bref, la soeur de Catherine - qui rentrait des cours du soir de danse au beurre - débarqua. Toute luisante comme ça, en plus de l'odeur alléchante de Maman aux p'tits oignons, Catherine bava sur sa soeur ces quelques mots : "ça sent la mouille! bordel de queue de pompe à merde!"
La soeur, choquée dans sa pudeur, courut vers la méga-jacuzzi-d'la-mort-qui-tue et se laissa glisser dans le doucereux réconfort des eaux chaudes et bouillonantes. Alors qu'elle commençait à se caresser doucement - pour se débarasser du vieux beurre rance utilisé en cours de danse au beurre demi-sel breton fermier depuis 1878 (disponible dans toutes les bonnes crèmeries !) - alors qu'elle commençait à se détartiner donc, Catherine entra avec une discrétion impressionnante pour un ogre de sa corpulence, un mixer à la main. Et ce qui devait arriver, arriva... Il ripa sur sa soeur encore un peu luisante de beurre et s'assomma sur le rebord du jacuzzi. Le mixer quant à lui, s'éteint en plein vol mais, cette dégénérée de soeur, Murielle, se précipita pour le récupérer avant sa chute, et au moment où elle le récupéra, elle se souvint d'un dicton aux allures scabreuses, tendancieuses, et d'un secret se perpétuant de mères en filles : "Mixe un jour... mixe toujours ". Elle changea l'embout de celui-ci afin d'obtenir un instrument de plaisir, et ainsi changé, Murielle se mit à laver la voiture de son père sans plus se fatiguer à astiquer.
Et pendant ce temps là, dans le jacuzzi, Catherine - l'ogre donc, pour ceux qui auraient pas suivi - reprenait ses esprits. Un odeur de brûlé terrible, poignante ! oppressante ! lui parvenait directement au groin. Il se précipita vers le four aux belles dimensions tout de briques dont l'une était fendue, et se brûla les doigts en voulant saisir le ragoût de Maman.
Il prit donc les maniques de sa maman pour sortir le ragoût de maman. Ce faisant, il chantonnait une chanson de son enfance : "Le ragoût de maman, c'est lui qu'on aime tant !"
Quand tout d'un coup, une vache volante passa par la fenêtre, déséquilibra le pauvre Catherine encombré du ragoût, et Cath, Maman, et Vavache se retrouvèrent à Laputa, le monde magique des vaches sacrées volantes. Sous la conduire de Babar - le dieu à tête de loutre - les vaches sacrées volantes surveillent de loin le monde des ogres, et, parfois, interviennent quand la situation le requiert. S'essuyant le visage recouvert de bouts de maman, Catherine leva les yeux et vit un escargot borgne sur la croupe de Vavache qui dansait la carioca.
Et là, devant les yeux ébahis de notre pauvre ogre au prénom mal choisi, un spectacle étrange commença : Vavache se mit sur ses papattes arrières, pris la main de Catherine, et, le regardant dans les yeux, lui dit ces mots : "Tu pues l'mort, mais t'as d'beaux yeux, mon chou. Dansons la javanaise, j'ai le sabot plus léger que le pas d'un elfe."
TIIIIILT : javanaise, eunuque, phallusette, retrouver une virilité perdue sur l'HÔTEL sacrificiel ! "Nom d'un vibromixer, ma quê(-quet)te !", s'écrit-il.
Notre Ogre bien aimé quitta alors Vavache, les yeux embués de larmes, et entrepris de se casser de Laputa, vu que visiblement il n'allait pas trouver là-bas l'ogresse qui saurait lui dresser le bois comme il faut. Il se rendit donc au marché de Noël (de Paris ?) afin de demander un coup de main au Père Noël, bien qu'il n'ait pas été un gentiment p'tit garçon. Entre parenthèses, précisons que le père noël s'était bizarrement taillé une réputation dans son célèbre "Dressage de phallus". Le père Noël, comprenant le malheur du méchant ogre, décida de l'aider tout de même: "écoute mon garçon, je ne pourrai pas trouver l'ogresse que tu cherche, mais laisse-moi tester une autre solution. Je vais t'enculer profond jusqu'au nombril, et tu frétilleras tellement de la prostate que normalement, en théorie, si tout se passe bien, et si Rudolphe le renne au nez rouge ne vient pas foutre sa merde, bref, tu devrais retrouver ton ptit bout. En plus ça tombe bien, j'ai une nouvelle marque de lubrifiant ultime à tester !"
Sur ces mots, Catherine, embarquant le sapin, la hotte et le lubrifiant gravierleux (qui sait si ce ne sera pas utile dans la suite de l'aventure), prit le traineau du Pervers Noël mené par le sieur Rudolphe et partit sur les bonnets de ski (c'est comme les chapeaux de roues mais en mode traineau) vers l'infini du ciel étoilé. "I'm on a hiiiiiiiighway to heeeeell !" beuglait le lecteur cd du traineau alors que Catherine décidait de sa nouvelle destination :
Le Jardin d'Eden. Quoi ? La première ogresse de la création est bien sortie de quelque part. Peut-être que l'originaire saura redonner son rang de vrai mâle à ce pauvre Catherine (qui a une bonne excuse pour avoir enfourné sa mère vu le nom qu'elle lui a donné). Il demanda donc à Rudolphe et à ses potes les rennes de se mettre en route. Après un long voyage, le traineau arriva devant un immense complexe hotelier avec un grand panneau indiquant : "Le Jardin des Naines". Mais pas de chance, c'était fermé. Il fouilla donc dans la hotte, et en sorti un tronçonneuse nucléaire, l'éléctrique n'étant pas pas pratique, et les batteries ridicules, et se mit à attaquer la facade avec hargne et sagesse (car un zigoto comme ça sait ce que ça fait, lorsqu'il sagit de tuer, ou au moins de détruire).
C'est alors que Batman, d'ailleurs on se demande ce qu'il vient faire dans cette histoire, arriva avec...
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MessageSujet: Re: Continuez l'histoire !   Continuez l'histoire ! - Page 3 EmptyMar 9 Déc - 3:57

Il était une fois un Ogre qui jouait du banjo, qui vivait dans une belle clairière près d'un Lac. De ses journées, il ne faisait rien d'autre que tuer des lapins et autres petits mammifères pour se nourrir. Mais par dessus tout, il aimait manger ses poux, qui étaient vraiment très bons, et aussi boire beaucoup d'alcool pour vomir sur des animaux. Mais, aujourd'hui, il avait décidé de changer de programme ! En effet, un Ogre drogué lui avait raconté qu'en ce moment, en ville, trainait une femme à barbe qui recherchait des phallus dansant la javanaise. L'Ogre se mit aussitôt à rechercher les phallus dans toute la forêt, et tomba sur un hôtel sacrificiel. "Couilles alors, j'ai perdu ma bite !", s'écria-t-il. Il faut dire que l'émasculation était plus qu'un art à cette époque, et que bien des êtres la méritait. Il était rare de se la faire ainsi couper sans que le sang ne se répande sur la terre et fasse ainsi pousser des arbres à bites. Ainsi, comme le dit le proverbe: "un phallus de perdu, dix queues de retrouvées", mais dans ce cas point de sang, et notre Ogre dût alors se rendre chez la Grande Prêtresse de la phallusette pour avoir une chance de retrouver un jour son membre bien aimé. Arrivant chez la phalusette, il s'incline galamment devant elle (et non, ne lui fait nullement le cuni tant attendu) et lui présente ses hommages :
"- Bien le bonjour je vous souhaite, ô belle phallusette, je suis venu vous voir pour un petit (enfin pas si petit que ça) problème."
"- Je t'écoute, humble voyageur, et j'espère pouvoir te venir en aide dans ta quête."
"- Comment dire ? C'est qu'c'est plutôt embarrassant... on m'a pour faire simple tranchouillé le noeud (alors que j'en cherchais un -dansant la javanaise- d'ailleurs), et j'osais espérer que vous sauriez m'aider à le retrouver."
"- Oh, il suffit fort simplement qu'elle repousse, et ce en trouvant l'ogresse qui, seule au monde, pourra te faire bander comme un yak!"
L'ogre se dit que l'une des personnes qui guidait son destin était décidément très portée sur la chose, et entreprit de trouver l'ogresse susdite, abandonnant pour quelque temps sa quête d'appendice génital remuant de manière ridicule pour le compte d'une grognasse hyperpileuse. Il se dirigea donc vers l'école la plus proche, parce que ce que ne dit point l'histoire, c'est que les ogres ont des penchants pédophiles.
Il fit des avances à quelques enfants et elfaons (petits d'elfes) mais, sans phallus, le cœur n'y était pas. Il se rappela alors qu'il devait pécho de l'ogresse et alla voir sa mère car après tout, le complexe d'Oedipe a déjà fait ses preuves. Sa mère, prête à tout pour son fils, fit œuvre de tous ses talents linguaux et labiaux sur le moignon restant, mais rien à faire ! Le haricot magique ne vint pas à pousser. Dans un mouvement de colère, il attrapa sa mère, la fourra (avec un ognon, pour le goût) et la mit au four: au moins, s'il ne réussissait pas à retrouver son zboub, il aurait un plat chaud prêt à le réconforter. Alors que le temps de cuisson allait arriver à son terme (une ogresse de 200 livres, thermostat 7, 2h au four), la soeur de l'ogre - que nous appellerons Catherine, en hommage à Catherine de Médicis qui était pas mal velue elle aussi - bref, la soeur de Catherine - qui rentrait des cours du soir de danse au beurre - débarqua. Toute luisante comme ça, en plus de l'odeur alléchante de Maman aux p'tits oignons, Catherine bava sur sa soeur ces quelques mots : "ça sent la mouille! bordel de queue de pompe à merde!"
La soeur, choquée dans sa pudeur, courut vers la méga-jacuzzi-d'la-mort-qui-tue et se laissa glisser dans le doucereux réconfort des eaux chaudes et bouillonantes. Alors qu'elle commençait à se caresser doucement - pour se débarasser du vieux beurre rance utilisé en cours de danse au beurre demi-sel breton fermier depuis 1878 (disponible dans toutes les bonnes crèmeries !) - alors qu'elle commençait à se détartiner donc, Catherine entra avec une discrétion impressionnante pour un ogre de sa corpulence, un mixer à la main. Et ce qui devait arriver, arriva... Il ripa sur sa soeur encore un peu luisante de beurre et s'assomma sur le rebord du jacuzzi. Le mixer quant à lui, s'éteint en plein vol mais, cette dégénérée de soeur, Murielle, se précipita pour le récupérer avant sa chute, et au moment où elle le récupéra, elle se souvint d'un dicton aux allures scabreuses, tendancieuses, et d'un secret se perpétuant de mères en filles : "Mixe un jour... mixe toujours ". Elle changea l'embout de celui-ci afin d'obtenir un instrument de plaisir, et ainsi changé, Murielle se mit à laver la voiture de son père sans plus se fatiguer à astiquer.
Et pendant ce temps là, dans le jacuzzi, Catherine - l'ogre donc, pour ceux qui auraient pas suivi - reprenait ses esprits. Un odeur de brûlé terrible, poignante ! oppressante ! lui parvenait directement au groin. Il se précipita vers le four aux belles dimensions tout de briques dont l'une était fendue, et se brûla les doigts en voulant saisir le ragoût de Maman.
Il prit donc les maniques de sa maman pour sortir le ragoût de maman. Ce faisant, il chantonnait une chanson de son enfance : "Le ragoût de maman, c'est lui qu'on aime tant !"
Quand tout d'un coup, une vache volante passa par la fenêtre, déséquilibra le pauvre Catherine encombré du ragoût, et Cath, Maman, et Vavache se retrouvèrent à Laputa, le monde magique des vaches sacrées volantes. Sous la conduire de Babar - le dieu à tête de loutre - les vaches sacrées volantes surveillent de loin le monde des ogres, et, parfois, interviennent quand la situation le requiert. S'essuyant le visage recouvert de bouts de maman, Catherine leva les yeux et vit un escargot borgne sur la croupe de Vavache qui dansait la carioca.
Et là, devant les yeux ébahis de notre pauvre ogre au prénom mal choisi, un spectacle étrange commença : Vavache se mit sur ses papattes arrières, pris la main de Catherine, et, le regardant dans les yeux, lui dit ces mots : "Tu pues l'mort, mais t'as d'beaux yeux, mon chou. Dansons la javanaise, j'ai le sabot plus léger que le pas d'un elfe."
TIIIIILT : javanaise, eunuque, phallusette, retrouver une virilité perdue sur l'HÔTEL sacrificiel ! "Nom d'un vibromixer, ma quê(-quet)te !", s'écrit-il.
Notre Ogre bien aimé quitta alors Vavache, les yeux embués de larmes, et entrepris de se casser de Laputa, vu que visiblement il n'allait pas trouver là-bas l'ogresse qui saurait lui dresser le bois comme il faut. Il se rendit donc au marché de Noël (de Paris ?) afin de demander un coup de main au Père Noël, bien qu'il n'ait pas été un gentiment p'tit garçon. Entre parenthèses, précisons que le père noël s'était bizarrement taillé une réputation dans son célèbre "Dressage de phallus". Le père Noël, comprenant le malheur du méchant ogre, décida de l'aider tout de même: "écoute mon garçon, je ne pourrai pas trouver l'ogresse que tu cherche, mais laisse-moi tester une autre solution. Je vais t'enculer profond jusqu'au nombril, et tu frétilleras tellement de la prostate que normalement, en théorie, si tout se passe bien, et si Rudolphe le renne au nez rouge ne vient pas foutre sa merde, bref, tu devrais retrouver ton ptit bout. En plus ça tombe bien, j'ai une nouvelle marque de lubrifiant ultime à tester !"
Sur ces mots, Catherine, embarquant le sapin, la hotte et le lubrifiant gravierleux (qui sait si ce ne sera pas utile dans la suite de l'aventure), prit le traineau du Pervers Noël mené par le sieur Rudolphe et partit sur les bonnets de ski (c'est comme les chapeaux de roues mais en mode traineau) vers l'infini du ciel étoilé. "I'm on a hiiiiiiiighway to heeeeell !" beuglait le lecteur cd du traineau alors que Catherine décidait de sa nouvelle destination :
Le Jardin d'Eden. Quoi ? La première ogresse de la création est bien sortie de quelque part. Peut-être que l'originaire saura redonner son rang de vrai mâle à ce pauvre Catherine (qui a une bonne excuse pour avoir enfourné sa mère vu le nom qu'elle lui a donné). Il demanda donc à Rudolphe et à ses potes les rennes de se mettre en route. Après un long voyage, le traineau arriva devant un immense complexe hotelier avec un grand panneau indiquant : "Le Jardin des Naines". Mais pas de chance, c'était fermé. Il fouilla donc dans la hotte, et en sorti un tronçonneuse nucléaire, l'éléctrique n'étant pas pas pratique, et les batteries ridicules, et se mit à attaquer la facade avec hargne et sagesse (car un zigoto comme ça sait ce que ça fait, lorsqu'il sagit de tuer, ou au moins de détruire).
C'est alors que Batman, d'ailleurs on se demande ce qu'il vient faire dans cette histoire, arriva avec Robin à ses côtés -encore en portes-jaretelles et menotté à cette heure tardive.
-"stoppez tout!" s'écria-t-il.
-"Quoi?" lui répondirent de concert le Pervers Noël et Catherine.
-"Je vois là une incohérence narrative flagrante: avant de défoncer ce portail, vous étiez censés vous...
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Érinyes

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MessageSujet: Re: Continuez l'histoire !   Continuez l'histoire ! - Page 3 EmptyMar 9 Déc - 4:13

Il était une fois un Ogre qui jouait du banjo, qui vivait dans une belle clairière près d'un Lac. De ses journées, il ne faisait rien d'autre que tuer des lapins et autres petits mammifères pour se nourrir. Mais par dessus tout, il aimait manger ses poux, qui étaient vraiment très bons, et aussi boire beaucoup d'alcool pour vomir sur des animaux. Mais, aujourd'hui, il avait décidé de changer de programme ! En effet, un Ogre drogué lui avait raconté qu'en ce moment, en ville, trainait une femme à barbe qui recherchait des phallus dansant la javanaise. L'Ogre se mit aussitôt à rechercher les phallus dans toute la forêt, et tomba sur un hôtel sacrificiel. "Couilles alors, j'ai perdu ma bite !", s'écria-t-il. Il faut dire que l'émasculation était plus qu'un art à cette époque, et que bien des êtres la méritait. Il était rare de se la faire ainsi couper sans que le sang ne se répande sur la terre et fasse ainsi pousser des arbres à bites. Ainsi, comme le dit le proverbe: "un phallus de perdu, dix queues de retrouvées", mais dans ce cas point de sang, et notre Ogre dût alors se rendre chez la Grande Prêtresse de la phallusette pour avoir une chance de retrouver un jour son membre bien aimé. Arrivant chez la phalusette, il s'incline galamment devant elle (et non, ne lui fait nullement le cuni tant attendu) et lui présente ses hommages :
"- Bien le bonjour je vous souhaite, ô belle phallusette, je suis venu vous voir pour un petit (enfin pas si petit que ça) problème."
"- Je t'écoute, humble voyageur, et j'espère pouvoir te venir en aide dans ta quête."
"- Comment dire ? C'est qu'c'est plutôt embarrassant... on m'a pour faire simple tranchouillé le noeud (alors que j'en cherchais un -dansant la javanaise- d'ailleurs), et j'osais espérer que vous sauriez m'aider à le retrouver."
"- Oh, il suffit fort simplement qu'elle repousse, et ce en trouvant l'ogresse qui, seule au monde, pourra te faire bander comme un yak!"
L'ogre se dit que l'une des personnes qui guidait son destin était décidément très portée sur la chose, et entreprit de trouver l'ogresse susdite, abandonnant pour quelque temps sa quête d'appendice génital remuant de manière ridicule pour le compte d'une grognasse hyperpileuse. Il se dirigea donc vers l'école la plus proche, parce que ce que ne dit point l'histoire, c'est que les ogres ont des penchants pédophiles.
Il fit des avances à quelques enfants et elfaons (petits d'elfes) mais, sans phallus, le cœur n'y était pas. Il se rappela alors qu'il devait pécho de l'ogresse et alla voir sa mère car après tout, le complexe d'Oedipe a déjà fait ses preuves. Sa mère, prête à tout pour son fils, fit œuvre de tous ses talents linguaux et labiaux sur le moignon restant, mais rien à faire ! Le haricot magique ne vint pas à pousser. Dans un mouvement de colère, il attrapa sa mère, la fourra (avec un ognon, pour le goût) et la mit au four: au moins, s'il ne réussissait pas à retrouver son zboub, il aurait un plat chaud prêt à le réconforter. Alors que le temps de cuisson allait arriver à son terme (une ogresse de 200 livres, thermostat 7, 2h au four), la soeur de l'ogre - que nous appellerons Catherine, en hommage à Catherine de Médicis qui était pas mal velue elle aussi - bref, la soeur de Catherine - qui rentrait des cours du soir de danse au beurre - débarqua. Toute luisante comme ça, en plus de l'odeur alléchante de Maman aux p'tits oignons, Catherine bava sur sa soeur ces quelques mots : "ça sent la mouille! bordel de queue de pompe à merde!"
La soeur, choquée dans sa pudeur, courut vers la méga-jacuzzi-d'la-mort-qui-tue et se laissa glisser dans le doucereux réconfort des eaux chaudes et bouillonantes. Alors qu'elle commençait à se caresser doucement - pour se débarasser du vieux beurre rance utilisé en cours de danse au beurre demi-sel breton fermier depuis 1878 (disponible dans toutes les bonnes crèmeries !) - alors qu'elle commençait à se détartiner donc, Catherine entra avec une discrétion impressionnante pour un ogre de sa corpulence, un mixer à la main. Et ce qui devait arriver, arriva... Il ripa sur sa soeur encore un peu luisante de beurre et s'assomma sur le rebord du jacuzzi. Le mixer quant à lui, s'éteint en plein vol mais, cette dégénérée de soeur, Murielle, se précipita pour le récupérer avant sa chute, et au moment où elle le récupéra, elle se souvint d'un dicton aux allures scabreuses, tendancieuses, et d'un secret se perpétuant de mères en filles : "Mixe un jour... mixe toujours ". Elle changea l'embout de celui-ci afin d'obtenir un instrument de plaisir, et ainsi changé, Murielle se mit à laver la voiture de son père sans plus se fatiguer à astiquer.
Et pendant ce temps là, dans le jacuzzi, Catherine - l'ogre donc, pour ceux qui auraient pas suivi - reprenait ses esprits. Un odeur de brûlé terrible, poignante ! oppressante ! lui parvenait directement au groin. Il se précipita vers le four aux belles dimensions tout de briques dont l'une était fendue, et se brûla les doigts en voulant saisir le ragoût de Maman.
Il prit donc les maniques de sa maman pour sortir le ragoût de maman. Ce faisant, il chantonnait une chanson de son enfance : "Le ragoût de maman, c'est lui qu'on aime tant !"
Quand tout d'un coup, une vache volante passa par la fenêtre, déséquilibra le pauvre Catherine encombré du ragoût, et Cath, Maman, et Vavache se retrouvèrent à Laputa, le monde magique des vaches sacrées volantes. Sous la conduire de Babar - le dieu à tête de loutre - les vaches sacrées volantes surveillent de loin le monde des ogres, et, parfois, interviennent quand la situation le requiert. S'essuyant le visage recouvert de bouts de maman, Catherine leva les yeux et vit un escargot borgne sur la croupe de Vavache qui dansait la carioca.
Et là, devant les yeux ébahis de notre pauvre ogre au prénom mal choisi, un spectacle étrange commença : Vavache se mit sur ses papattes arrières, pris la main de Catherine, et, le regardant dans les yeux, lui dit ces mots : "Tu pues l'mort, mais t'as d'beaux yeux, mon chou. Dansons la javanaise, j'ai le sabot plus léger que le pas d'un elfe."
TIIIIILT : javanaise, eunuque, phallusette, retrouver une virilité perdue sur l'HÔTEL sacrificiel ! "Nom d'un vibromixer, ma quê(-quet)te !", s'écrit-il.
Notre Ogre bien aimé quitta alors Vavache, les yeux embués de larmes, et entrepris de se casser de Laputa, vu que visiblement il n'allait pas trouver là-bas l'ogresse qui saurait lui dresser le bois comme il faut. Il se rendit donc au marché de Noël (de Paris ?) afin de demander un coup de main au Père Noël, bien qu'il n'ait pas été un gentiment p'tit garçon. Entre parenthèses, précisons que le père noël s'était bizarrement taillé une réputation dans son célèbre "Dressage de phallus". Le père Noël, comprenant le malheur du méchant ogre, décida de l'aider tout de même: "écoute mon garçon, je ne pourrai pas trouver l'ogresse que tu cherche, mais laisse-moi tester une autre solution. Je vais t'enculer profond jusqu'au nombril, et tu frétilleras tellement de la prostate que normalement, en théorie, si tout se passe bien, et si Rudolphe le renne au nez rouge ne vient pas foutre sa merde, bref, tu devrais retrouver ton ptit bout. En plus ça tombe bien, j'ai une nouvelle marque de lubrifiant ultime à tester !"
Sur ces mots, Catherine, embarquant le sapin, la hotte et le lubrifiant gravierleux (qui sait si ce ne sera pas utile dans la suite de l'aventure), prit le traineau du Pervers Noël mené par le sieur Rudolphe et partit sur les bonnets de ski (c'est comme les chapeaux de roues mais en mode traineau) vers l'infini du ciel étoilé. "I'm on a hiiiiiiiighway to heeeeell !" beuglait le lecteur cd du traineau alors que Catherine décidait de sa nouvelle destination :
Le Jardin d'Eden. Quoi ? La première ogresse de la création est bien sortie de quelque part. Peut-être que l'originaire saura redonner son rang de vrai mâle à ce pauvre Catherine (qui a une bonne excuse pour avoir enfourné sa mère vu le nom qu'elle lui a donné). Il demanda donc à Rudolphe et à ses potes les rennes de se mettre en route. Après un long voyage, le traineau arriva devant un immense complexe hotelier avec un grand panneau indiquant : "Le Jardin des Naines". Mais pas de chance, c'était fermé. Il fouilla donc dans la hotte, et en sorti un tronçonneuse nucléaire, l'éléctrique n'étant pas pas pratique, et les batteries ridicules, et se mit à attaquer la facade avec hargne et sagesse (car un zigoto comme ça sait ce que ça fait, lorsqu'il sagit de tuer, ou au moins de détruire).
C'est alors que Batman, d'ailleurs on se demande ce qu'il vient faire dans cette histoire, arriva avec Robin à ses côtés -encore en portes-jaretelles et menotté à cette heure tardive.
-"stoppez tout!" s'écria-t-il.
-"Quoi?" lui répondirent de concert le Pervers Noël et Catherine.
-"Je vois là une incohérence narrative flagrante: avant de défoncer ce portail, vous étiez censés vous glisser dans la cheminé après l'avoir bourrée de lubrifiant (la cheminé pas Catherine, quoi que...).
Et alors que batman commençait à sortir l'engin, pendant que Robin le regardait (le machin en forme de chauve-souris qu'il balance sur les méchants ! A quoi avez-vous pensé, bande de petits pervers lubriques ?), le bippeur "Ligue Des Justicier" de l'acolite en costume pas beau sonna, pour rappeler à Batman qu'il devait aller aller jouer au golf avec Lex Luthor (et c'est pas plus mal, par ce qu'il n'a rien à faire là celui-là !). Il sauta donc sur les épaules de Robin, la Batmobile étant chez Peugeot, l'injection du carburateur à pédales, sous le siège dans le coffre, à régler ou un truc comme ça, et parti en Ireland.
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Pomponette

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MessageSujet: Re: Continuez l'histoire !   Continuez l'histoire ! - Page 3 EmptyMar 9 Déc - 4:22

Il était une fois un Ogre qui jouait du banjo, qui vivait dans une belle clairière près d'un Lac. De ses journées, il ne faisait rien d'autre que tuer des lapins et autres petits mammifères pour se nourrir. Mais par dessus tout, il aimait manger ses poux, qui étaient vraiment très bons, et aussi boire beaucoup d'alcool pour vomir sur des animaux. Mais, aujourd'hui, il avait décidé de changer de programme ! En effet, un Ogre drogué lui avait raconté qu'en ce moment, en ville, trainait une femme à barbe qui recherchait des phallus dansant la javanaise. L'Ogre se mit aussitôt à rechercher les phallus dans toute la forêt, et tomba sur un hôtel sacrificiel. "Couilles alors, j'ai perdu ma bite !", s'écria-t-il. Il faut dire que l'émasculation était plus qu'un art à cette époque, et que bien des êtres la méritait. Il était rare de se la faire ainsi couper sans que le sang ne se répande sur la terre et fasse ainsi pousser des arbres à bites. Ainsi, comme le dit le proverbe: "un phallus de perdu, dix queues de retrouvées", mais dans ce cas point de sang, et notre Ogre dût alors se rendre chez la Grande Prêtresse de la phallusette pour avoir une chance de retrouver un jour son membre bien aimé. Arrivant chez la phalusette, il s'incline galamment devant elle (et non, ne lui fait nullement le cuni tant attendu) et lui présente ses hommages :
"- Bien le bonjour je vous souhaite, ô belle phallusette, je suis venu vous voir pour un petit (enfin pas si petit que ça) problème."
"- Je t'écoute, humble voyageur, et j'espère pouvoir te venir en aide dans ta quête."
"- Comment dire ? C'est qu'c'est plutôt embarrassant... on m'a pour faire simple tranchouillé le noeud (alors que j'en cherchais un -dansant la javanaise- d'ailleurs), et j'osais espérer que vous sauriez m'aider à le retrouver."
"- Oh, il suffit fort simplement qu'elle repousse, et ce en trouvant l'ogresse qui, seule au monde, pourra te faire bander comme un yak!"
L'ogre se dit que l'une des personnes qui guidait son destin était décidément très portée sur la chose, et entreprit de trouver l'ogresse susdite, abandonnant pour quelque temps sa quête d'appendice génital remuant de manière ridicule pour le compte d'une grognasse hyperpileuse. Il se dirigea donc vers l'école la plus proche, parce que ce que ne dit point l'histoire, c'est que les ogres ont des penchants pédophiles.
Il fit des avances à quelques enfants et elfaons (petits d'elfes) mais, sans phallus, le cœur n'y était pas. Il se rappela alors qu'il devait pécho de l'ogresse et alla voir sa mère car après tout, le complexe d'Oedipe a déjà fait ses preuves. Sa mère, prête à tout pour son fils, fit œuvre de tous ses talents linguaux et labiaux sur le moignon restant, mais rien à faire ! Le haricot magique ne vint pas à pousser. Dans un mouvement de colère, il attrapa sa mère, la fourra (avec un ognon, pour le goût) et la mit au four: au moins, s'il ne réussissait pas à retrouver son zboub, il aurait un plat chaud prêt à le réconforter. Alors que le temps de cuisson allait arriver à son terme (une ogresse de 200 livres, thermostat 7, 2h au four), la soeur de l'ogre - que nous appellerons Catherine, en hommage à Catherine de Médicis qui était pas mal velue elle aussi - bref, la soeur de Catherine - qui rentrait des cours du soir de danse au beurre - débarqua. Toute luisante comme ça, en plus de l'odeur alléchante de Maman aux p'tits oignons, Catherine bava sur sa soeur ces quelques mots : "ça sent la mouille! bordel de queue de pompe à merde!"
La soeur, choquée dans sa pudeur, courut vers la méga-jacuzzi-d'la-mort-qui-tue et se laissa glisser dans le doucereux réconfort des eaux chaudes et bouillonantes. Alors qu'elle commençait à se caresser doucement - pour se débarasser du vieux beurre rance utilisé en cours de danse au beurre demi-sel breton fermier depuis 1878 (disponible dans toutes les bonnes crèmeries !) - alors qu'elle commençait à se détartiner donc, Catherine entra avec une discrétion impressionnante pour un ogre de sa corpulence, un mixer à la main. Et ce qui devait arriver, arriva... Il ripa sur sa soeur encore un peu luisante de beurre et s'assomma sur le rebord du jacuzzi. Le mixer quant à lui, s'éteint en plein vol mais, cette dégénérée de soeur, Murielle, se précipita pour le récupérer avant sa chute, et au moment où elle le récupéra, elle se souvint d'un dicton aux allures scabreuses, tendancieuses, et d'un secret se perpétuant de mères en filles : "Mixe un jour... mixe toujours ". Elle changea l'embout de celui-ci afin d'obtenir un instrument de plaisir, et ainsi changé, Murielle se mit à laver la voiture de son père sans plus se fatiguer à astiquer.
Et pendant ce temps là, dans le jacuzzi, Catherine - l'ogre donc, pour ceux qui auraient pas suivi - reprenait ses esprits. Un odeur de brûlé terrible, poignante ! oppressante ! lui parvenait directement au groin. Il se précipita vers le four aux belles dimensions tout de briques dont l'une était fendue, et se brûla les doigts en voulant saisir le ragoût de Maman.
Il prit donc les maniques de sa maman pour sortir le ragoût de maman. Ce faisant, il chantonnait une chanson de son enfance : "Le ragoût de maman, c'est lui qu'on aime tant !"
Quand tout d'un coup, une vache volante passa par la fenêtre, déséquilibra le pauvre Catherine encombré du ragoût, et Cath, Maman, et Vavache se retrouvèrent à Laputa, le monde magique des vaches sacrées volantes. Sous la conduire de Babar - le dieu à tête de loutre - les vaches sacrées volantes surveillent de loin le monde des ogres, et, parfois, interviennent quand la situation le requiert. S'essuyant le visage recouvert de bouts de maman, Catherine leva les yeux et vit un escargot borgne sur la croupe de Vavache qui dansait la carioca.
Et là, devant les yeux ébahis de notre pauvre ogre au prénom mal choisi, un spectacle étrange commença : Vavache se mit sur ses papattes arrières, pris la main de Catherine, et, le regardant dans les yeux, lui dit ces mots : "Tu pues l'mort, mais t'as d'beaux yeux, mon chou. Dansons la javanaise, j'ai le sabot plus léger que le pas d'un elfe."
TIIIIILT : javanaise, eunuque, phallusette, retrouver une virilité perdue sur l'HÔTEL sacrificiel ! "Nom d'un vibromixer, ma quê(-quet)te !", s'écrit-il.
Notre Ogre bien aimé quitta alors Vavache, les yeux embués de larmes, et entrepris de se casser de Laputa, vu que visiblement il n'allait pas trouver là-bas l'ogresse qui saurait lui dresser le bois comme il faut. Il se rendit donc au marché de Noël (de Paris ?) afin de demander un coup de main au Père Noël, bien qu'il n'ait pas été un gentiment p'tit garçon. Entre parenthèses, précisons que le père noël s'était bizarrement taillé une réputation dans son célèbre "Dressage de phallus". Le père Noël, comprenant le malheur du méchant ogre, décida de l'aider tout de même: "écoute mon garçon, je ne pourrai pas trouver l'ogresse que tu cherche, mais laisse-moi tester une autre solution. Je vais t'enculer profond jusqu'au nombril, et tu frétilleras tellement de la prostate que normalement, en théorie, si tout se passe bien, et si Rudolphe le renne au nez rouge ne vient pas foutre sa merde, bref, tu devrais retrouver ton ptit bout. En plus ça tombe bien, j'ai une nouvelle marque de lubrifiant ultime à tester !"
Sur ces mots, Catherine, embarquant le sapin, la hotte et le lubrifiant gravierleux (qui sait si ce ne sera pas utile dans la suite de l'aventure), prit le traineau du Pervers Noël mené par le sieur Rudolphe et partit sur les bonnets de ski (c'est comme les chapeaux de roues mais en mode traineau) vers l'infini du ciel étoilé. "I'm on a hiiiiiiiighway to heeeeell !" beuglait le lecteur cd du traineau alors que Catherine décidait de sa nouvelle destination :
Le Jardin d'Eden. Quoi ? La première ogresse de la création est bien sortie de quelque part. Peut-être que l'originaire saura redonner son rang de vrai mâle à ce pauvre Catherine (qui a une bonne excuse pour avoir enfourné sa mère vu le nom qu'elle lui a donné). Il demanda donc à Rudolphe et à ses potes les rennes de se mettre en route. Après un long voyage, le traineau arriva devant un immense complexe hotelier avec un grand panneau indiquant : "Le Jardin des Naines". Mais pas de chance, c'était fermé. Il fouilla donc dans la hotte, et en sorti un tronçonneuse nucléaire, l'éléctrique n'étant pas pas pratique, et les batteries ridicules, et se mit à attaquer la facade avec hargne et sagesse (car un zigoto comme ça sait ce que ça fait, lorsqu'il sagit de tuer, ou au moins de détruire).
C'est alors que Batman, d'ailleurs on se demande ce qu'il vient faire dans cette histoire, arriva avec Robin à ses côtés -encore en portes-jaretelles et menotté à cette heure tardive.
-"stoppez tout!" s'écria-t-il.
-"Quoi?" lui répondirent de concert le Pervers Noël et Catherine.
-"Je vois là une incohérence narrative flagrante: avant de défoncer ce portail, vous étiez censés vous glisser dans la cheminé après l'avoir bourrée de lubrifiant (la cheminé pas Catherine, quoi que...).
Et alors que batman commençait à sortir l'engin, pendant que Robin le regardait (le machin en forme de chauve-souris qu'il balance sur les méchants ! A quoi avez-vous pensé, bande de petits pervers lubriques ?), le bippeur "Ligue Des Justicier" de l'acolite en costume pas beau sonna, pour rappeler à Batman qu'il devait aller aller jouer au golf avec Lex Luthor (et c'est pas plus mal, par ce qu'il n'a rien à faire là celui-là !). Il sauta donc sur les épaules de Robin, la Batmobile étant chez Peugeot, l'injection du carburateur à pédales, sous le siège dans le coffre, à régler ou un truc comme ça, et parti en Ireland.
C'est alors que Catherine, notre ogre favori, se souvint qu'il avait pris avec lui le fameux lubrifiant gravierleux (Ah, je savais bien que nous en aurions besoin par la suite !), et dans un mouvement leste, il fit couler le liquide le long du conduit échauffé par un feu intérieur. Il ne restait plus qu'à faire glisser le corps tendu, et...
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Thuro

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MessageSujet: Re: Continuez l'histoire !   Continuez l'histoire ! - Page 3 EmptyMar 9 Déc - 4:43

Il était une fois un Ogre qui jouait du banjo, qui vivait dans une belle clairière près d'un Lac. De ses journées, il ne faisait rien d'autre que tuer des lapins et autres petits mammifères pour se nourrir. Mais par dessus tout, il aimait manger ses poux, qui étaient vraiment très bons, et aussi boire beaucoup d'alcool pour vomir sur des animaux. Mais, aujourd'hui, il avait décidé de changer de programme ! En effet, un Ogre drogué lui avait raconté qu'en ce moment, en ville, trainait une femme à barbe qui recherchait des phallus dansant la javanaise. L'Ogre se mit aussitôt à rechercher les phallus dans toute la forêt, et tomba sur un hôtel sacrificiel. "Couilles alors, j'ai perdu ma bite !", s'écria-t-il. Il faut dire que l'émasculation était plus qu'un art à cette époque, et que bien des êtres la méritait. Il était rare de se la faire ainsi couper sans que le sang ne se répande sur la terre et fasse ainsi pousser des arbres à bites. Ainsi, comme le dit le proverbe: "un phallus de perdu, dix queues de retrouvées", mais dans ce cas point de sang, et notre Ogre dût alors se rendre chez la Grande Prêtresse de la phallusette pour avoir une chance de retrouver un jour son membre bien aimé. Arrivant chez la phalusette, il s'incline galamment devant elle (et non, ne lui fait nullement le cuni tant attendu) et lui présente ses hommages :
"- Bien le bonjour je vous souhaite, ô belle phallusette, je suis venu vous voir pour un petit (enfin pas si petit que ça) problème."
"- Je t'écoute, humble voyageur, et j'espère pouvoir te venir en aide dans ta quête."
"- Comment dire ? C'est qu'c'est plutôt embarrassant... on m'a pour faire simple tranchouillé le noeud (alors que j'en cherchais un -dansant la javanaise- d'ailleurs), et j'osais espérer que vous sauriez m'aider à le retrouver."
"- Oh, il suffit fort simplement qu'elle repousse, et ce en trouvant l'ogresse qui, seule au monde, pourra te faire bander comme un yak!"
L'ogre se dit que l'une des personnes qui guidait son destin était décidément très portée sur la chose, et entreprit de trouver l'ogresse susdite, abandonnant pour quelque temps sa quête d'appendice génital remuant de manière ridicule pour le compte d'une grognasse hyperpileuse. Il se dirigea donc vers l'école la plus proche, parce que ce que ne dit point l'histoire, c'est que les ogres ont des penchants pédophiles.
Il fit des avances à quelques enfants et elfaons (petits d'elfes) mais, sans phallus, le cœur n'y était pas. Il se rappela alors qu'il devait pécho de l'ogresse et alla voir sa mère car après tout, le complexe d'Oedipe a déjà fait ses preuves. Sa mère, prête à tout pour son fils, fit œuvre de tous ses talents linguaux et labiaux sur le moignon restant, mais rien à faire ! Le haricot magique ne vint pas à pousser. Dans un mouvement de colère, il attrapa sa mère, la fourra (avec un ognon, pour le goût) et la mit au four: au moins, s'il ne réussissait pas à retrouver son zboub, il aurait un plat chaud prêt à le réconforter. Alors que le temps de cuisson allait arriver à son terme (une ogresse de 200 livres, thermostat 7, 2h au four), la soeur de l'ogre - que nous appellerons Catherine, en hommage à Catherine de Médicis qui était pas mal velue elle aussi - bref, la soeur de Catherine - qui rentrait des cours du soir de danse au beurre - débarqua. Toute luisante comme ça, en plus de l'odeur alléchante de Maman aux p'tits oignons, Catherine bava sur sa soeur ces quelques mots : "ça sent la mouille! bordel de queue de pompe à merde!"
La soeur, choquée dans sa pudeur, courut vers la méga-jacuzzi-d'la-mort-qui-tue et se laissa glisser dans le doucereux réconfort des eaux chaudes et bouillonantes. Alors qu'elle commençait à se caresser doucement - pour se débarasser du vieux beurre rance utilisé en cours de danse au beurre demi-sel breton fermier depuis 1878 (disponible dans toutes les bonnes crèmeries !) - alors qu'elle commençait à se détartiner donc, Catherine entra avec une discrétion impressionnante pour un ogre de sa corpulence, un mixer à la main. Et ce qui devait arriver, arriva... Il ripa sur sa soeur encore un peu luisante de beurre et s'assomma sur le rebord du jacuzzi. Le mixer quant à lui, s'éteint en plein vol mais, cette dégénérée de soeur, Murielle, se précipita pour le récupérer avant sa chute, et au moment où elle le récupéra, elle se souvint d'un dicton aux allures scabreuses, tendancieuses, et d'un secret se perpétuant de mères en filles : "Mixe un jour... mixe toujours ". Elle changea l'embout de celui-ci afin d'obtenir un instrument de plaisir, et ainsi changé, Murielle se mit à laver la voiture de son père sans plus se fatiguer à astiquer.
Et pendant ce temps là, dans le jacuzzi, Catherine - l'ogre donc, pour ceux qui auraient pas suivi - reprenait ses esprits. Un odeur de brûlé terrible, poignante ! oppressante ! lui parvenait directement au groin. Il se précipita vers le four aux belles dimensions tout de briques dont l'une était fendue, et se brûla les doigts en voulant saisir le ragoût de Maman.
Il prit donc les maniques de sa maman pour sortir le ragoût de maman. Ce faisant, il chantonnait une chanson de son enfance : "Le ragoût de maman, c'est lui qu'on aime tant !"
Quand tout d'un coup, une vache volante passa par la fenêtre, déséquilibra le pauvre Catherine encombré du ragoût, et Cath, Maman, et Vavache se retrouvèrent à Laputa, le monde magique des vaches sacrées volantes. Sous la conduire de Babar - le dieu à tête de loutre - les vaches sacrées volantes surveillent de loin le monde des ogres, et, parfois, interviennent quand la situation le requiert. S'essuyant le visage recouvert de bouts de maman, Catherine leva les yeux et vit un escargot borgne sur la croupe de Vavache qui dansait la carioca.
Et là, devant les yeux ébahis de notre pauvre ogre au prénom mal choisi, un spectacle étrange commença : Vavache se mit sur ses papattes arrières, pris la main de Catherine, et, le regardant dans les yeux, lui dit ces mots : "Tu pues l'mort, mais t'as d'beaux yeux, mon chou. Dansons la javanaise, j'ai le sabot plus léger que le pas d'un elfe."
TIIIIILT : javanaise, eunuque, phallusette, retrouver une virilité perdue sur l'HÔTEL sacrificiel ! "Nom d'un vibromixer, ma quê(-quet)te !", s'écrit-il.
Notre Ogre bien aimé quitta alors Vavache, les yeux embués de larmes, et entrepris de se casser de Laputa, vu que visiblement il n'allait pas trouver là-bas l'ogresse qui saurait lui dresser le bois comme il faut. Il se rendit donc au marché de Noël (de Paris ?) afin de demander un coup de main au Père Noël, bien qu'il n'ait pas été un gentiment p'tit garçon. Entre parenthèses, précisons que le père noël s'était bizarrement taillé une réputation dans son célèbre "Dressage de phallus". Le père Noël, comprenant le malheur du méchant ogre, décida de l'aider tout de même: "écoute mon garçon, je ne pourrai pas trouver l'ogresse que tu cherche, mais laisse-moi tester une autre solution. Je vais t'enculer profond jusqu'au nombril, et tu frétilleras tellement de la prostate que normalement, en théorie, si tout se passe bien, et si Rudolphe le renne au nez rouge ne vient pas foutre sa merde, bref, tu devrais retrouver ton ptit bout. En plus ça tombe bien, j'ai une nouvelle marque de lubrifiant ultime à tester !"
Sur ces mots, Catherine, embarquant le sapin, la hotte et le lubrifiant gravierleux (qui sait si ce ne sera pas utile dans la suite de l'aventure), prit le traineau du Pervers Noël mené par le sieur Rudolphe et partit sur les bonnets de ski (c'est comme les chapeaux de roues mais en mode traineau) vers l'infini du ciel étoilé. "I'm on a hiiiiiiiighway to heeeeell !" beuglait le lecteur cd du traineau alors que Catherine décidait de sa nouvelle destination :
Le Jardin d'Eden. Quoi ? La première ogresse de la création est bien sortie de quelque part. Peut-être que l'originaire saura redonner son rang de vrai mâle à ce pauvre Catherine (qui a une bonne excuse pour avoir enfourné sa mère vu le nom qu'elle lui a donné). Il demanda donc à Rudolphe et à ses potes les rennes de se mettre en route. Après un long voyage, le traineau arriva devant un immense complexe hotelier avec un grand panneau indiquant : "Le Jardin des Naines". Mais pas de chance, c'était fermé. Il fouilla donc dans la hotte, et en sorti un tronçonneuse nucléaire, l'éléctrique n'étant pas pas pratique, et les batteries ridicules, et se mit à attaquer la facade avec hargne et sagesse (car un zigoto comme ça sait ce que ça fait, lorsqu'il sagit de tuer, ou au moins de détruire).
C'est alors que Batman, d'ailleurs on se demande ce qu'il vient faire dans cette histoire, arriva avec Robin à ses côtés -encore en portes-jaretelles et menotté à cette heure tardive.
-"stoppez tout!" s'écria-t-il.
-"Quoi?" lui répondirent de concert le Pervers Noël et Catherine.
-"Je vois là une incohérence narrative flagrante: avant de défoncer ce portail, vous étiez censés vous glisser dans la cheminé après l'avoir bourrée de lubrifiant (la cheminé pas Catherine, quoi que...).
Et alors que batman commençait à sortir l'engin, pendant que Robin le regardait (le machin en forme de chauve-souris qu'il balance sur les méchants ! A quoi avez-vous pensé, bande de petits pervers lubriques ?), le bippeur "Ligue Des Justicier" de l'acolite en costume pas beau sonna, pour rappeler à Batman qu'il devait aller aller jouer au golf avec Lex Luthor (et c'est pas plus mal, par ce qu'il n'a rien à faire là celui-là !). Il sauta donc sur les épaules de Robin, la Batmobile étant chez Peugeot, l'injection du carburateur à pédales, sous le siège dans le coffre, à régler ou un truc comme ça, et parti en Ireland.
C'est alors que Catherine, notre ogre favori, se souvint qu'il avait pris avec lui le fameux lubrifiant gravierleux (Ah, je savais bien que nous en aurions besoin par la suite !), et dans un mouvement leste, il fit couler le liquide le long du conduit échauffé par un feu intérieur. Il ne restait plus qu'à faire glisser le corps tendu, et l'infiltrer dans le conduit (de la cheminée). Après une réception périlleuse évitant de justesse un tisonnier, Catherine s'avança à pas d'éléphant parkisonnien dans le jardin des Naines. Au détour d'un buisson, il...
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Pomponette

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MessageSujet: Re: Continuez l'histoire !   Continuez l'histoire ! - Page 3 EmptyMar 9 Déc - 5:06

Il était une fois un Ogre qui jouait du banjo, qui vivait dans une belle clairière près d'un Lac. De ses journées, il ne faisait rien d'autre que tuer des lapins et autres petits mammifères pour se nourrir. Mais par dessus tout, il aimait manger ses poux, qui étaient vraiment très bons, et aussi boire beaucoup d'alcool pour vomir sur des animaux. Mais, aujourd'hui, il avait décidé de changer de programme ! En effet, un Ogre drogué lui avait raconté qu'en ce moment, en ville, trainait une femme à barbe qui recherchait des phallus dansant la javanaise. L'Ogre se mit aussitôt à rechercher les phallus dans toute la forêt, et tomba sur un hôtel sacrificiel. "Couilles alors, j'ai perdu ma bite !", s'écria-t-il. Il faut dire que l'émasculation était plus qu'un art à cette époque, et que bien des êtres la méritait. Il était rare de se la faire ainsi couper sans que le sang ne se répande sur la terre et fasse ainsi pousser des arbres à bites. Ainsi, comme le dit le proverbe: "un phallus de perdu, dix queues de retrouvées", mais dans ce cas point de sang, et notre Ogre dût alors se rendre chez la Grande Prêtresse de la phallusette pour avoir une chance de retrouver un jour son membre bien aimé. Arrivant chez la phalusette, il s'incline galamment devant elle (et non, ne lui fait nullement le cuni tant attendu) et lui présente ses hommages :
"- Bien le bonjour je vous souhaite, ô belle phallusette, je suis venu vous voir pour un petit (enfin pas si petit que ça) problème."
"- Je t'écoute, humble voyageur, et j'espère pouvoir te venir en aide dans ta quête."
"- Comment dire ? C'est qu'c'est plutôt embarrassant... on m'a pour faire simple tranchouillé le noeud (alors que j'en cherchais un -dansant la javanaise- d'ailleurs), et j'osais espérer que vous sauriez m'aider à le retrouver."
"- Oh, il suffit fort simplement qu'elle repousse, et ce en trouvant l'ogresse qui, seule au monde, pourra te faire bander comme un yak!"
L'ogre se dit que l'une des personnes qui guidait son destin était décidément très portée sur la chose, et entreprit de trouver l'ogresse susdite, abandonnant pour quelque temps sa quête d'appendice génital remuant de manière ridicule pour le compte d'une grognasse hyperpileuse. Il se dirigea donc vers l'école la plus proche, parce que ce que ne dit point l'histoire, c'est que les ogres ont des penchants pédophiles.
Il fit des avances à quelques enfants et elfaons (petits d'elfes) mais, sans phallus, le cœur n'y était pas. Il se rappela alors qu'il devait pécho de l'ogresse et alla voir sa mère car après tout, le complexe d'Oedipe a déjà fait ses preuves. Sa mère, prête à tout pour son fils, fit œuvre de tous ses talents linguaux et labiaux sur le moignon restant, mais rien à faire ! Le haricot magique ne vint pas à pousser. Dans un mouvement de colère, il attrapa sa mère, la fourra (avec un ognon, pour le goût) et la mit au four: au moins, s'il ne réussissait pas à retrouver son zboub, il aurait un plat chaud prêt à le réconforter. Alors que le temps de cuisson allait arriver à son terme (une ogresse de 200 livres, thermostat 7, 2h au four), la soeur de l'ogre - que nous appellerons Catherine, en hommage à Catherine de Médicis qui était pas mal velue elle aussi - bref, la soeur de Catherine - qui rentrait des cours du soir de danse au beurre - débarqua. Toute luisante comme ça, en plus de l'odeur alléchante de Maman aux p'tits oignons, Catherine bava sur sa soeur ces quelques mots : "ça sent la mouille! bordel de queue de pompe à merde!"
La soeur, choquée dans sa pudeur, courut vers la méga-jacuzzi-d'la-mort-qui-tue et se laissa glisser dans le doucereux réconfort des eaux chaudes et bouillonantes. Alors qu'elle commençait à se caresser doucement - pour se débarasser du vieux beurre rance utilisé en cours de danse au beurre demi-sel breton fermier depuis 1878 (disponible dans toutes les bonnes crèmeries !) - alors qu'elle commençait à se détartiner donc, Catherine entra avec une discrétion impressionnante pour un ogre de sa corpulence, un mixer à la main. Et ce qui devait arriver, arriva... Il ripa sur sa soeur encore un peu luisante de beurre et s'assomma sur le rebord du jacuzzi. Le mixer quant à lui, s'éteint en plein vol mais, cette dégénérée de soeur, Murielle, se précipita pour le récupérer avant sa chute, et au moment où elle le récupéra, elle se souvint d'un dicton aux allures scabreuses, tendancieuses, et d'un secret se perpétuant de mères en filles : "Mixe un jour... mixe toujours ". Elle changea l'embout de celui-ci afin d'obtenir un instrument de plaisir, et ainsi changé, Murielle se mit à laver la voiture de son père sans plus se fatiguer à astiquer.
Et pendant ce temps là, dans le jacuzzi, Catherine - l'ogre donc, pour ceux qui auraient pas suivi - reprenait ses esprits. Un odeur de brûlé terrible, poignante ! oppressante ! lui parvenait directement au groin. Il se précipita vers le four aux belles dimensions tout de briques dont l'une était fendue, et se brûla les doigts en voulant saisir le ragoût de Maman.
Il prit donc les maniques de sa maman pour sortir le ragoût de maman. Ce faisant, il chantonnait une chanson de son enfance : "Le ragoût de maman, c'est lui qu'on aime tant !"
Quand tout d'un coup, une vache volante passa par la fenêtre, déséquilibra le pauvre Catherine encombré du ragoût, et Cath, Maman, et Vavache se retrouvèrent à Laputa, le monde magique des vaches sacrées volantes. Sous la conduire de Babar - le dieu à tête de loutre - les vaches sacrées volantes surveillent de loin le monde des ogres, et, parfois, interviennent quand la situation le requiert. S'essuyant le visage recouvert de bouts de maman, Catherine leva les yeux et vit un escargot borgne sur la croupe de Vavache qui dansait la carioca.
Et là, devant les yeux ébahis de notre pauvre ogre au prénom mal choisi, un spectacle étrange commença : Vavache se mit sur ses papattes arrières, pris la main de Catherine, et, le regardant dans les yeux, lui dit ces mots : "Tu pues l'mort, mais t'as d'beaux yeux, mon chou. Dansons la javanaise, j'ai le sabot plus léger que le pas d'un elfe."
TIIIIILT : javanaise, eunuque, phallusette, retrouver une virilité perdue sur l'HÔTEL sacrificiel ! "Nom d'un vibromixer, ma quê(-quet)te !", s'écrit-il.
Notre Ogre bien aimé quitta alors Vavache, les yeux embués de larmes, et entrepris de se casser de Laputa, vu que visiblement il n'allait pas trouver là-bas l'ogresse qui saurait lui dresser le bois comme il faut. Il se rendit donc au marché de Noël (de Paris ?) afin de demander un coup de main au Père Noël, bien qu'il n'ait pas été un gentiment p'tit garçon. Entre parenthèses, précisons que le père noël s'était bizarrement taillé une réputation dans son célèbre "Dressage de phallus". Le père Noël, comprenant le malheur du méchant ogre, décida de l'aider tout de même: "écoute mon garçon, je ne pourrai pas trouver l'ogresse que tu cherche, mais laisse-moi tester une autre solution. Je vais t'enculer profond jusqu'au nombril, et tu frétilleras tellement de la prostate que normalement, en théorie, si tout se passe bien, et si Rudolphe le renne au nez rouge ne vient pas foutre sa merde, bref, tu devrais retrouver ton ptit bout. En plus ça tombe bien, j'ai une nouvelle marque de lubrifiant ultime à tester !"
Sur ces mots, Catherine, embarquant le sapin, la hotte et le lubrifiant gravierleux (qui sait si ce ne sera pas utile dans la suite de l'aventure), prit le traineau du Pervers Noël mené par le sieur Rudolphe et partit sur les bonnets de ski (c'est comme les chapeaux de roues mais en mode traineau) vers l'infini du ciel étoilé. "I'm on a hiiiiiiiighway to heeeeell !" beuglait le lecteur cd du traineau alors que Catherine décidait de sa nouvelle destination :
Le Jardin d'Eden. Quoi ? La première ogresse de la création est bien sortie de quelque part. Peut-être que l'originaire saura redonner son rang de vrai mâle à ce pauvre Catherine (qui a une bonne excuse pour avoir enfourné sa mère vu le nom qu'elle lui a donné). Il demanda donc à Rudolphe et à ses potes les rennes de se mettre en route. Après un long voyage, le traineau arriva devant un immense complexe hotelier avec un grand panneau indiquant : "Le Jardin des Naines". Mais pas de chance, c'était fermé. Il fouilla donc dans la hotte, et en sorti un tronçonneuse nucléaire, l'éléctrique n'étant pas pas pratique, et les batteries ridicules, et se mit à attaquer la facade avec hargne et sagesse (car un zigoto comme ça sait ce que ça fait, lorsqu'il sagit de tuer, ou au moins de détruire).
C'est alors que Batman, d'ailleurs on se demande ce qu'il vient faire dans cette histoire, arriva avec Robin à ses côtés -encore en portes-jaretelles et menotté à cette heure tardive.
-"stoppez tout!" s'écria-t-il.
-"Quoi?" lui répondirent de concert le Pervers Noël et Catherine.
-"Je vois là une incohérence narrative flagrante: avant de défoncer ce portail, vous étiez censés vous glisser dans la cheminé après l'avoir bourrée de lubrifiant (la cheminé pas Catherine, quoi que...).
Et alors que batman commençait à sortir l'engin, pendant que Robin le regardait (le machin en forme de chauve-souris qu'il balance sur les méchants ! A quoi avez-vous pensé, bande de petits pervers lubriques ?), le bippeur "Ligue Des Justicier" de l'acolite en costume pas beau sonna, pour rappeler à Batman qu'il devait aller aller jouer au golf avec Lex Luthor (et c'est pas plus mal, par ce qu'il n'a rien à faire là celui-là !). Il sauta donc sur les épaules de Robin, la Batmobile étant chez Peugeot, l'injection du carburateur à pédales, sous le siège dans le coffre, à régler ou un truc comme ça, et parti en Ireland.
C'est alors que Catherine, notre ogre favori, se souvint qu'il avait pris avec lui le fameux lubrifiant gravierleux (Ah, je savais bien que nous en aurions besoin par la suite !), et dans un mouvement leste, il fit couler le liquide le long du conduit échauffé par un feu intérieur. Il ne restait plus qu'à faire glisser le corps tendu, et l'infiltrer dans le conduit (de la cheminée). Après une réception périlleuse évitant de justesse un tisonnier, Catherine s'avança à pas d'éléphant parkisonnien dans le jardin des Naines. Au détour d'un buisson, il rencontra un satyre. Étant à demi animal, il lui vomit à demi dessus (Oui oui, souvenez-vous du début de l'histoire), s'essuya la bouche avec le bonnet du Pervers Noël, puis empoigna le sapin et le présenta courtoisement à la bestiole, citant ce vers : "Ca pique un peu par où ça passe, mais le sapin, ça pine bien."
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Nig




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MessageSujet: Re: Continuez l'histoire !   Continuez l'histoire ! - Page 3 EmptyMar 9 Déc - 5:55

Il était une fois un Ogre qui jouait du banjo, qui vivait dans une belle clairière près d'un Lac. De ses journées, il ne faisait rien d'autre que tuer des lapins et autres petits mammifères pour se nourrir. Mais par dessus tout, il aimait manger ses poux, qui étaient vraiment très bons, et aussi boire beaucoup d'alcool pour vomir sur des animaux. Mais, aujourd'hui, il avait décidé de changer de programme ! En effet, un Ogre drogué lui avait raconté qu'en ce moment, en ville, trainait une femme à barbe qui recherchait des phallus dansant la javanaise. L'Ogre se mit aussitôt à rechercher les phallus dans toute la forêt, et tomba sur un hôtel sacrificiel. "Couilles alors, j'ai perdu ma bite !", s'écria-t-il. Il faut dire que l'émasculation était plus qu'un art à cette époque, et que bien des êtres la méritait. Il était rare de se la faire ainsi couper sans que le sang ne se répande sur la terre et fasse ainsi pousser des arbres à bites. Ainsi, comme le dit le proverbe: "un phallus de perdu, dix queues de retrouvées", mais dans ce cas point de sang, et notre Ogre dût alors se rendre chez la Grande Prêtresse de la phallusette pour avoir une chance de retrouver un jour son membre bien aimé. Arrivant chez la phalusette, il s'incline galamment devant elle (et non, ne lui fait nullement le cuni tant attendu) et lui présente ses hommages :
"- Bien le bonjour je vous souhaite, ô belle phallusette, je suis venu vous voir pour un petit (enfin pas si petit que ça) problème."
"- Je t'écoute, humble voyageur, et j'espère pouvoir te venir en aide dans ta quête."
"- Comment dire ? C'est qu'c'est plutôt embarrassant... on m'a pour faire simple tranchouillé le noeud (alors que j'en cherchais un -dansant la javanaise- d'ailleurs), et j'osais espérer que vous sauriez m'aider à le retrouver."
"- Oh, il suffit fort simplement qu'elle repousse, et ce en trouvant l'ogresse qui, seule au monde, pourra te faire bander comme un yak!"
L'ogre se dit que l'une des personnes qui guidait son destin était décidément très portée sur la chose, et entreprit de trouver l'ogresse susdite, abandonnant pour quelque temps sa quête d'appendice génital remuant de manière ridicule pour le compte d'une grognasse hyperpileuse. Il se dirigea donc vers l'école la plus proche, parce que ce que ne dit point l'histoire, c'est que les ogres ont des penchants pédophiles.
Il fit des avances à quelques enfants et elfaons (petits d'elfes) mais, sans phallus, le cœur n'y était pas. Il se rappela alors qu'il devait pécho de l'ogresse et alla voir sa mère car après tout, le complexe d'Oedipe a déjà fait ses preuves. Sa mère, prête à tout pour son fils, fit œuvre de tous ses talents linguaux et labiaux sur le moignon restant, mais rien à faire ! Le haricot magique ne vint pas à pousser. Dans un mouvement de colère, il attrapa sa mère, la fourra (avec un ognon, pour le goût) et la mit au four: au moins, s'il ne réussissait pas à retrouver son zboub, il aurait un plat chaud prêt à le réconforter. Alors que le temps de cuisson allait arriver à son terme (une ogresse de 200 livres, thermostat 7, 2h au four), la soeur de l'ogre - que nous appellerons Catherine, en hommage à Catherine de Médicis qui était pas mal velue elle aussi - bref, la soeur de Catherine - qui rentrait des cours du soir de danse au beurre - débarqua. Toute luisante comme ça, en plus de l'odeur alléchante de Maman aux p'tits oignons, Catherine bava sur sa soeur ces quelques mots : "ça sent la mouille! bordel de queue de pompe à merde!"
La soeur, choquée dans sa pudeur, courut vers la méga-jacuzzi-d'la-mort-qui-tue et se laissa glisser dans le doucereux réconfort des eaux chaudes et bouillonantes. Alors qu'elle commençait à se caresser doucement - pour se débarasser du vieux beurre rance utilisé en cours de danse au beurre demi-sel breton fermier depuis 1878 (disponible dans toutes les bonnes crèmeries !) - alors qu'elle commençait à se détartiner donc, Catherine entra avec une discrétion impressionnante pour un ogre de sa corpulence, un mixer à la main. Et ce qui devait arriver, arriva... Il ripa sur sa soeur encore un peu luisante de beurre et s'assomma sur le rebord du jacuzzi. Le mixer quant à lui, s'éteint en plein vol mais, cette dégénérée de soeur, Murielle, se précipita pour le récupérer avant sa chute, et au moment où elle le récupéra, elle se souvint d'un dicton aux allures scabreuses, tendancieuses, et d'un secret se perpétuant de mères en filles : "Mixe un jour... mixe toujours ". Elle changea l'embout de celui-ci afin d'obtenir un instrument de plaisir, et ainsi changé, Murielle se mit à laver la voiture de son père sans plus se fatiguer à astiquer.
Et pendant ce temps là, dans le jacuzzi, Catherine - l'ogre donc, pour ceux qui auraient pas suivi - reprenait ses esprits. Un odeur de brûlé terrible, poignante ! oppressante ! lui parvenait directement au groin. Il se précipita vers le four aux belles dimensions tout de briques dont l'une était fendue, et se brûla les doigts en voulant saisir le ragoût de Maman.
Il prit donc les maniques de sa maman pour sortir le ragoût de maman. Ce faisant, il chantonnait une chanson de son enfance : "Le ragoût de maman, c'est lui qu'on aime tant !"
Quand tout d'un coup, une vache volante passa par la fenêtre, déséquilibra le pauvre Catherine encombré du ragoût, et Cath, Maman, et Vavache se retrouvèrent à Laputa, le monde magique des vaches sacrées volantes. Sous la conduire de Babar - le dieu à tête de loutre - les vaches sacrées volantes surveillent de loin le monde des ogres, et, parfois, interviennent quand la situation le requiert. S'essuyant le visage recouvert de bouts de maman, Catherine leva les yeux et vit un escargot borgne sur la croupe de Vavache qui dansait la carioca.
Et là, devant les yeux ébahis de notre pauvre ogre au prénom mal choisi, un spectacle étrange commença : Vavache se mit sur ses papattes arrières, pris la main de Catherine, et, le regardant dans les yeux, lui dit ces mots : "Tu pues l'mort, mais t'as d'beaux yeux, mon chou. Dansons la javanaise, j'ai le sabot plus léger que le pas d'un elfe."
TIIIIILT : javanaise, eunuque, phallusette, retrouver une virilité perdue sur l'HÔTEL sacrificiel ! "Nom d'un vibromixer, ma quê(-quet)te !", s'écrit-il.
Notre Ogre bien aimé quitta alors Vavache, les yeux embués de larmes, et entrepris de se casser de Laputa, vu que visiblement il n'allait pas trouver là-bas l'ogresse qui saurait lui dresser le bois comme il faut. Il se rendit donc au marché de Noël (de Paris ?) afin de demander un coup de main au Père Noël, bien qu'il n'ait pas été un gentiment p'tit garçon. Entre parenthèses, précisons que le père noël s'était bizarrement taillé une réputation dans son célèbre "Dressage de phallus". Le père Noël, comprenant le malheur du méchant ogre, décida de l'aider tout de même: "écoute mon garçon, je ne pourrai pas trouver l'ogresse que tu cherche, mais laisse-moi tester une autre solution. Je vais t'enculer profond jusqu'au nombril, et tu frétilleras tellement de la prostate que normalement, en théorie, si tout se passe bien, et si Rudolphe le renne au nez rouge ne vient pas foutre sa merde, bref, tu devrais retrouver ton ptit bout. En plus ça tombe bien, j'ai une nouvelle marque de lubrifiant ultime à tester !"
Sur ces mots, Catherine, embarquant le sapin, la hotte et le lubrifiant gravierleux (qui sait si ce ne sera pas utile dans la suite de l'aventure), prit le traineau du Pervers Noël mené par le sieur Rudolphe et partit sur les bonnets de ski (c'est comme les chapeaux de roues mais en mode traineau) vers l'infini du ciel étoilé. "I'm on a hiiiiiiiighway to heeeeell !" beuglait le lecteur cd du traineau alors que Catherine décidait de sa nouvelle destination :
Le Jardin d'Eden. Quoi ? La première ogresse de la création est bien sortie de quelque part. Peut-être que l'originaire saura redonner son rang de vrai mâle à ce pauvre Catherine (qui a une bonne excuse pour avoir enfourné sa mère vu le nom qu'elle lui a donné). Il demanda donc à Rudolphe et à ses potes les rennes de se mettre en route. Après un long voyage, le traineau arriva devant un immense complexe hotelier avec un grand panneau indiquant : "Le Jardin des Naines". Mais pas de chance, c'était fermé. Il fouilla donc dans la hotte, et en sorti un tronçonneuse nucléaire, l'éléctrique n'étant pas pas pratique, et les batteries ridicules, et se mit à attaquer la facade avec hargne et sagesse (car un zigoto comme ça sait ce que ça fait, lorsqu'il sagit de tuer, ou au moins de détruire).
C'est alors que Batman, d'ailleurs on se demande ce qu'il vient faire dans cette histoire, arriva avec Robin à ses côtés -encore en portes-jaretelles et menotté à cette heure tardive.
-"stoppez tout!" s'écria-t-il.
-"Quoi?" lui répondirent de concert le Pervers Noël et Catherine.
-"Je vois là une incohérence narrative flagrante: avant de défoncer ce portail, vous étiez censés vous glisser dans la cheminé après l'avoir bourrée de lubrifiant (la cheminé pas Catherine, quoi que...).
Et alors que batman commençait à sortir l'engin, pendant que Robin le regardait (le machin en forme de chauve-souris qu'il balance sur les méchants ! A quoi avez-vous pensé, bande de petits pervers lubriques ?), le bippeur "Ligue Des Justicier" de l'acolite en costume pas beau sonna, pour rappeler à Batman qu'il devait aller aller jouer au golf avec Lex Luthor (et c'est pas plus mal, par ce qu'il n'a rien à faire là celui-là !). Il sauta donc sur les épaules de Robin, la Batmobile étant chez Peugeot, l'injection du carburateur à pédales, sous le siège dans le coffre, à régler ou un truc comme ça, et parti en Ireland.
C'est alors que Catherine, notre ogre favori, se souvint qu'il avait pris avec lui le fameux lubrifiant gravierleux (Ah, je savais bien que nous en aurions besoin par la suite !), et dans un mouvement leste, il fit couler le liquide le long du conduit échauffé par un feu intérieur. Il ne restait plus qu'à faire glisser le corps tendu, et l'infiltrer dans le conduit (de la cheminée). Après une réception périlleuse évitant de justesse un tisonnier, Catherine s'avança à pas d'éléphant parkisonnien dans le jardin des Naines. Au détour d'un buisson, il rencontra un satyre. Étant à demi animal, il lui vomit à demi dessus (Oui oui, souvenez-vous du début de l'histoire), s'essuya la bouche avec le bonnet du Pervers Noël, puis empoigna le sapin et le présenta courtoisement à la bestiole, citant ce vers : "Ca pique un peu par où ça passe, mais le sapin, ça pine bien."
La bestiole se mit diligemment en position, et Catherine s'affaira avec le sapin d'une main, et chopa un lapin safran qui passait par là de l'autre.
Car si un satyre et un sapin ça tire sa pine, un satyre et un lapin safran, ça rend la pine.
Et c'est ainsi que Catherine retrouva sa mâle propriété.

FIN !
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