| | Continuez l'histoire, le re-retour ! (L'heureux ? Ahah.) | |
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Pomponette
Nombre de messages : 119 Age : 35 Localisation : sur sa chaise et un objet spécial (LIMBI EST UN BÂTARD.) Date d'inscription : 06/12/2008
| Sujet: Re: Continuez l'histoire, le re-retour ! (L'heureux ? Ahah.) Mer 10 Déc - 8:46 | |
| Il était une fois, un pois-chiche bleu. Doté de parole et de belles dents jaunâtres parce qu'il abusait un peu du café et des chiques à la salsepareille. Il péchait dans un verre d'eau quand soudain quelque chose attira son attention à la surface de la fraiche étendue liquide. Un bouchon de Ricard flottait avec à son bord un mille-pattes tenant un petit parasol de décoration de cocktails et un bretzel. Notre pois chiche, Bruno-Barnabé -nous l'appellerons ainsi par convention- agita un petit mouchoir à pois roses et entreprit de communiquer avec cet invité incongru. "- Lut-sa l'ger-étran. Quel bon vent te te-por squ'à-ju moi ?" (B-B avait en effet quelques problèmes syntaxiques qu'il ne vaut mieux pas chercher à comprendre, se-lai bé-ton quoi!) "- Holà, pécheur de moules, voudrais-tu m'indiquer la direction du plus proche bar-salsepareille? j'ai comme qui dirait le gosier qui m'chatouille. Et l'ami bretzel aimerait bien tremper le biscuit dans un petit verre de jus de navet maison (dans quoi pensiez vous qu'il allait tremper le biscuit, répugnants lecteurs?) comme on en fait paraît-il dans le coin." "- Allez donc chez Brassens, c'est un ami. J'vais vous accompagner d'ailleurs, il nous fera un prix parce que les copains d'abord comme on dit, hein, en tout cas c'est pas ça qui va lui donner mauvaise réputation à mes yeux, allez, bougeons-nous, c'est par là" Main dans la main (oui oui, c'est la coutume), ils se rendent donc dans le bar du sieur Brassens sur la rive-ouest. A leur arrivée, le sympathique tenancier fumait la pipe ("pipe" semblant signifier mensonge au Canada francophone, je tiens à préciser que Magritte avait raison) devant sa modeste auberge, il les accueillit le couple insolite d'une voix bourue. "- Bienv'nue les gars. Vous v'là bien guillerets, que venez-vous faire de beau ici? Présente moi donc ton ami, Barnabé!" "- Oh, mon pagnon-com yageait-voi dans le grand rre-ve quand il m'a terpellé-in me mandant-de une ce-pla allante-accuei pour re-boi un coup. Je drai-vou bien un te-pit fé-ca, et pour mon te-po ça ra-se un jus de vet-na, plait-te-s'il. Ah, et puis une te-gou de va-cal dans le fé-ca si c'est sible-pos." "- C'est parti mon kiki (oui, tout le monde imagine Brassens en train de dire cela), j'vous sers ça sur le ponton. Installez-vous et... | |
| | | Thuro
Nombre de messages : 37 Localisation : Ici Date d'inscription : 08/12/2008
| Sujet: Re: Continuez l'histoire, le re-retour ! (L'heureux ? Ahah.) Mer 10 Déc - 8:50 | |
| Il était une fois, un pois-chiche bleu. Doté de parole et de belles dents jaunâtres parce qu'il abusait un peu du café et des chiques à la salsepareille. Il péchait dans un verre d'eau quand soudain quelque chose attira son attention à la surface de la fraiche étendue liquide. Un bouchon de Ricard flottait avec à son bord un mille-pattes tenant un petit parasol de décoration de cocktails et un bretzel. Notre pois chiche, Bruno-Barnabé -nous l'appellerons ainsi par convention- agita un petit mouchoir à pois roses et entreprit de communiquer avec cet invité incongru. "- Lut-sa l'ger-étran. Quel bon vent te te-por squ'à-ju moi ?" (B-B avait en effet quelques problèmes syntaxiques qu'il ne vaut mieux pas chercher à comprendre, se-lai bé-ton quoi!) "- Holà, pécheur de moules, voudrais-tu m'indiquer la direction du plus proche bar-salsepareille? j'ai comme qui dirait le gosier qui m'chatouille. Et l'ami bretzel aimerait bien tremper le biscuit dans un petit verre de jus de navet maison (dans quoi pensiez vous qu'il allait tremper le biscuit, répugnants lecteurs?) comme on en fait paraît-il dans le coin." "- Allez donc chez Brassens, c'est un ami. J'vais vous accompagner d'ailleurs, il nous fera un prix parce que les copains d'abord comme on dit, hein, en tout cas c'est pas ça qui va lui donner mauvaise réputation à mes yeux, allez, bougeons-nous, c'est par là" Main dans la main (oui oui, c'est la coutume), ils se rendent donc dans le bar du sieur Brassens sur la rive-ouest. A leur arrivée, le sympathique tenancier fumait la pipe ("pipe" semblant signifier mensonge au Canada francophone, je tiens à préciser que Magritte avait raison) devant sa modeste auberge, il les accueillit le couple insolite d'une voix bourue. "- Bienv'nue les gars. Vous v'là bien guillerets, que venez-vous faire de beau ici? Présente moi donc ton ami, Barnabé!" "- Oh, mon pagnon-com yageait-voi dans le grand rre-ve quand il m'a terpellé-in me mandant-de une ce-pla allante-accuei pour re-boi un coup. Je drai-vou bien un te-pit fé-ca, et pour mon te-po ça ra-se un jus de vet-na, plait-te-s'il. Ah, et puis une te-gou de va-cal dans le fé-ca si c'est sible-pos." "- C'est parti mon kiki (oui, tout le monde imagine Brassens en train de dire cela), j'vous sers ça sur le ponton. Installez-vous et je vous rejoins presto. Vu qu'y a pas l'air d'avoir grand-monde pour l'instant, on pourra peut-être se faire un boeuf." | |
| | | Pomponette
Nombre de messages : 119 Age : 35 Localisation : sur sa chaise et un objet spécial (LIMBI EST UN BÂTARD.) Date d'inscription : 06/12/2008
| Sujet: Re: Continuez l'histoire, le re-retour ! (L'heureux ? Ahah.) Mer 10 Déc - 8:52 | |
| Il était une fois, un pois-chiche bleu. Doté de parole et de belles dents jaunâtres parce qu'il abusait un peu du café et des chiques à la salsepareille. Il péchait dans un verre d'eau quand soudain quelque chose attira son attention à la surface de la fraiche étendue liquide. Un bouchon de Ricard flottait avec à son bord un mille-pattes tenant un petit parasol de décoration de cocktails et un bretzel. Notre pois chiche, Bruno-Barnabé -nous l'appellerons ainsi par convention- agita un petit mouchoir à pois roses et entreprit de communiquer avec cet invité incongru. "- Lut-sa l'ger-étran. Quel bon vent te te-por squ'à-ju moi ?" (B-B avait en effet quelques problèmes syntaxiques qu'il ne vaut mieux pas chercher à comprendre, se-lai bé-ton quoi!) "- Holà, pécheur de moules, voudrais-tu m'indiquer la direction du plus proche bar-salsepareille? j'ai comme qui dirait le gosier qui m'chatouille. Et l'ami bretzel aimerait bien tremper le biscuit dans un petit verre de jus de navet maison (dans quoi pensiez vous qu'il allait tremper le biscuit, répugnants lecteurs?) comme on en fait paraît-il dans le coin." "- Allez donc chez Brassens, c'est un ami. J'vais vous accompagner d'ailleurs, il nous fera un prix parce que les copains d'abord comme on dit, hein, en tout cas c'est pas ça qui va lui donner mauvaise réputation à mes yeux, allez, bougeons-nous, c'est par là" Main dans la main (oui oui, c'est la coutume), ils se rendent donc dans le bar du sieur Brassens sur la rive-ouest. A leur arrivée, le sympathique tenancier fumait la pipe ("pipe" semblant signifier mensonge au Canada francophone, je tiens à préciser que Magritte avait raison) devant sa modeste auberge, il les accueillit le couple insolite d'une voix bourue. "- Bienv'nue les gars. Vous v'là bien guillerets, que venez-vous faire de beau ici? Présente moi donc ton ami, Barnabé!" "- Oh, mon pagnon-com yageait-voi dans le grand rre-ve quand il m'a terpellé-in me mandant-de une ce-pla allante-accuei pour re-boi un coup. Je drai-vou bien un te-pit fé-ca, et pour mon te-po ça ra-se un jus de vet-na, plait-te-s'il. Ah, et puis une te-gou de va-cal dans le fé-ca si c'est sible-pos." "- C'est parti mon kiki (oui, tout le monde imagine Brassens en train de dire cela), j'vous sers ça sur le ponton. Installez-vous et je vous rejoins presto. Vu qu'y a pas l'air d'avoir grand-monde pour l'instant, on pourra peut-être se faire un boeuf." Ils posèrent donc leur derrière (euh, c'est quoi le derrière d'un pois-chiche ?) sur des chaises en cure-dent et se mirent à parler de... | |
| | | Thuro
Nombre de messages : 37 Localisation : Ici Date d'inscription : 08/12/2008
| Sujet: Re: Continuez l'histoire, le re-retour ! (L'heureux ? Ahah.) Mer 10 Déc - 8:56 | |
| Il était une fois, un pois-chiche bleu. Doté de parole et de belles dents jaunâtres parce qu'il abusait un peu du café et des chiques à la salsepareille. Il péchait dans un verre d'eau quand soudain quelque chose attira son attention à la surface de la fraiche étendue liquide. Un bouchon de Ricard flottait avec à son bord un mille-pattes tenant un petit parasol de décoration de cocktails et un bretzel. Notre pois chiche, Bruno-Barnabé -nous l'appellerons ainsi par convention- agita un petit mouchoir à pois roses et entreprit de communiquer avec cet invité incongru. "- Lut-sa l'ger-étran. Quel bon vent te te-por squ'à-ju moi ?" (B-B avait en effet quelques problèmes syntaxiques qu'il ne vaut mieux pas chercher à comprendre, se-lai bé-ton quoi!) "- Holà, pécheur de moules, voudrais-tu m'indiquer la direction du plus proche bar-salsepareille? j'ai comme qui dirait le gosier qui m'chatouille. Et l'ami bretzel aimerait bien tremper le biscuit dans un petit verre de jus de navet maison (dans quoi pensiez vous qu'il allait tremper le biscuit, répugnants lecteurs?) comme on en fait paraît-il dans le coin." "- Allez donc chez Brassens, c'est un ami. J'vais vous accompagner d'ailleurs, il nous fera un prix parce que les copains d'abord comme on dit, hein, en tout cas c'est pas ça qui va lui donner mauvaise réputation à mes yeux, allez, bougeons-nous, c'est par là" Main dans la main (oui oui, c'est la coutume), ils se rendent donc dans le bar du sieur Brassens sur la rive-ouest. A leur arrivée, le sympathique tenancier fumait la pipe ("pipe" semblant signifier mensonge au Canada francophone, je tiens à préciser que Magritte avait raison) devant sa modeste auberge, il les accueillit le couple insolite d'une voix bourue. "- Bienv'nue les gars. Vous v'là bien guillerets, que venez-vous faire de beau ici? Présente moi donc ton ami, Barnabé!" "- Oh, mon pagnon-com yageait-voi dans le grand rre-ve quand il m'a terpellé-in me mandant-de une ce-pla allante-accuei pour re-boi un coup. Je drai-vou bien un te-pit fé-ca, et pour mon te-po ça ra-se un jus de vet-na, plait-te-s'il. Ah, et puis une te-gou de va-cal dans le fé-ca si c'est sible-pos." "- C'est parti mon kiki (oui, tout le monde imagine Brassens en train de dire cela), j'vous sers ça sur le ponton. Installez-vous et je vous rejoins presto. Vu qu'y a pas l'air d'avoir grand-monde pour l'instant, on pourra peut-être se faire un boeuf." Ils posèrent donc leur derrière (euh, c'est quoi le derrière d'un pois-chiche ?) sur des chaises en cure-dent et se mirent à parler de fléchettes, de jazz ainsi que de la pizza quatre-olives et de sa place dans les expériences de mort imminente... | |
| | | Pomponette
Nombre de messages : 119 Age : 35 Localisation : sur sa chaise et un objet spécial (LIMBI EST UN BÂTARD.) Date d'inscription : 06/12/2008
| Sujet: Re: Continuez l'histoire, le re-retour ! (L'heureux ? Ahah.) Mer 10 Déc - 9:03 | |
| Il était une fois, un pois-chiche bleu. Doté de parole et de belles dents jaunâtres parce qu'il abusait un peu du café et des chiques à la salsepareille. Il péchait dans un verre d'eau quand soudain quelque chose attira son attention à la surface de la fraiche étendue liquide. Un bouchon de Ricard flottait avec à son bord un mille-pattes tenant un petit parasol de décoration de cocktails et un bretzel. Notre pois chiche, Bruno-Barnabé -nous l'appellerons ainsi par convention- agita un petit mouchoir à pois roses et entreprit de communiquer avec cet invité incongru. "- Lut-sa l'ger-étran. Quel bon vent te te-por squ'à-ju moi ?" (B-B avait en effet quelques problèmes syntaxiques qu'il ne vaut mieux pas chercher à comprendre, se-lai bé-ton quoi!) "- Holà, pécheur de moules, voudrais-tu m'indiquer la direction du plus proche bar-salsepareille? j'ai comme qui dirait le gosier qui m'chatouille. Et l'ami bretzel aimerait bien tremper le biscuit dans un petit verre de jus de navet maison (dans quoi pensiez vous qu'il allait tremper le biscuit, répugnants lecteurs?) comme on en fait paraît-il dans le coin." "- Allez donc chez Brassens, c'est un ami. J'vais vous accompagner d'ailleurs, il nous fera un prix parce que les copains d'abord comme on dit, hein, en tout cas c'est pas ça qui va lui donner mauvaise réputation à mes yeux, allez, bougeons-nous, c'est par là" Main dans la main (oui oui, c'est la coutume), ils se rendent donc dans le bar du sieur Brassens sur la rive-ouest. A leur arrivée, le sympathique tenancier fumait la pipe ("pipe" semblant signifier mensonge au Canada francophone, je tiens à préciser que Magritte avait raison) devant sa modeste auberge, il les accueillit le couple insolite d'une voix bourue. "- Bienv'nue les gars. Vous v'là bien guillerets, que venez-vous faire de beau ici? Présente moi donc ton ami, Barnabé!" "- Oh, mon pagnon-com yageait-voi dans le grand rre-ve quand il m'a terpellé-in me mandant-de une ce-pla allante-accuei pour re-boi un coup. Je drai-vou bien un te-pit fé-ca, et pour mon te-po ça ra-se un jus de vet-na, plait-te-s'il. Ah, et puis une te-gou de va-cal dans le fé-ca si c'est sible-pos." "- C'est parti mon kiki (oui, tout le monde imagine Brassens en train de dire cela), j'vous sers ça sur le ponton. Installez-vous et je vous rejoins presto. Vu qu'y a pas l'air d'avoir grand-monde pour l'instant, on pourra peut-être se faire un boeuf." Ils posèrent donc leur derrière (euh, c'est quoi le derrière d'un pois-chiche ?) sur des chaises en cure-dent et se mirent à parler de fléchettes, de jazz ainsi que de la pizza quatre-olives et de sa place dans les expériences de mort imminente chez un enfant de deux jours volé dans une maternité. Ils trinquèrent ensuite à... | |
| | | Thuro
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| Sujet: Re: Continuez l'histoire, le re-retour ! (L'heureux ? Ahah.) Mer 10 Déc - 9:06 | |
| Il était une fois, un pois-chiche bleu. Doté de parole et de belles dents jaunâtres parce qu'il abusait un peu du café et des chiques à la salsepareille. Il péchait dans un verre d'eau quand soudain quelque chose attira son attention à la surface de la fraiche étendue liquide. Un bouchon de Ricard flottait avec à son bord un mille-pattes tenant un petit parasol de décoration de cocktails et un bretzel. Notre pois chiche, Bruno-Barnabé -nous l'appellerons ainsi par convention- agita un petit mouchoir à pois roses et entreprit de communiquer avec cet invité incongru. "- Lut-sa l'ger-étran. Quel bon vent te te-por squ'à-ju moi ?" (B-B avait en effet quelques problèmes syntaxiques qu'il ne vaut mieux pas chercher à comprendre, se-lai bé-ton quoi!) "- Holà, pécheur de moules, voudrais-tu m'indiquer la direction du plus proche bar-salsepareille? j'ai comme qui dirait le gosier qui m'chatouille. Et l'ami bretzel aimerait bien tremper le biscuit dans un petit verre de jus de navet maison (dans quoi pensiez vous qu'il allait tremper le biscuit, répugnants lecteurs?) comme on en fait paraît-il dans le coin." "- Allez donc chez Brassens, c'est un ami. J'vais vous accompagner d'ailleurs, il nous fera un prix parce que les copains d'abord comme on dit, hein, en tout cas c'est pas ça qui va lui donner mauvaise réputation à mes yeux, allez, bougeons-nous, c'est par là" Main dans la main (oui oui, c'est la coutume), ils se rendent donc dans le bar du sieur Brassens sur la rive-ouest. A leur arrivée, le sympathique tenancier fumait la pipe ("pipe" semblant signifier mensonge au Canada francophone, je tiens à préciser que Magritte avait raison) devant sa modeste auberge, il les accueillit le couple insolite d'une voix bourue. "- Bienv'nue les gars. Vous v'là bien guillerets, que venez-vous faire de beau ici? Présente moi donc ton ami, Barnabé!" "- Oh, mon pagnon-com yageait-voi dans le grand rre-ve quand il m'a terpellé-in me mandant-de une ce-pla allante-accuei pour re-boi un coup. Je drai-vou bien un te-pit fé-ca, et pour mon te-po ça ra-se un jus de vet-na, plait-te-s'il. Ah, et puis une te-gou de va-cal dans le fé-ca si c'est sible-pos." "- C'est parti mon kiki (oui, tout le monde imagine Brassens en train de dire cela), j'vous sers ça sur le ponton. Installez-vous et je vous rejoins presto. Vu qu'y a pas l'air d'avoir grand-monde pour l'instant, on pourra peut-être se faire un boeuf." Ils posèrent donc leur derrière (euh, c'est quoi le derrière d'un pois-chiche ?) sur des chaises en cure-dent et se mirent à parler de fléchettes, de jazz ainsi que de la pizza quatre-olives et de sa place dans les expériences de mort imminente chez un enfant de deux jours volé dans une maternité. Ils trinquèrent ensuite à la vie et aux tabourets en plastique bleu, au soleil et aussi aux bruits qu'on entend parfois en s'endormant, avant de... | |
| | | Pomponette
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| Sujet: Re: Continuez l'histoire, le re-retour ! (L'heureux ? Ahah.) Mer 10 Déc - 9:16 | |
| Il était une fois, un pois-chiche bleu. Doté de parole et de belles dents jaunâtres parce qu'il abusait un peu du café et des chiques à la salsepareille. Il péchait dans un verre d'eau quand soudain quelque chose attira son attention à la surface de la fraiche étendue liquide. Un bouchon de Ricard flottait avec à son bord un mille-pattes tenant un petit parasol de décoration de cocktails et un bretzel. Notre pois chiche, Bruno-Barnabé -nous l'appellerons ainsi par convention- agita un petit mouchoir à pois roses et entreprit de communiquer avec cet invité incongru. "- Lut-sa l'ger-étran. Quel bon vent te te-por squ'à-ju moi ?" (B-B avait en effet quelques problèmes syntaxiques qu'il ne vaut mieux pas chercher à comprendre, se-lai bé-ton quoi!) "- Holà, pécheur de moules, voudrais-tu m'indiquer la direction du plus proche bar-salsepareille? j'ai comme qui dirait le gosier qui m'chatouille. Et l'ami bretzel aimerait bien tremper le biscuit dans un petit verre de jus de navet maison (dans quoi pensiez vous qu'il allait tremper le biscuit, répugnants lecteurs?) comme on en fait paraît-il dans le coin." "- Allez donc chez Brassens, c'est un ami. J'vais vous accompagner d'ailleurs, il nous fera un prix parce que les copains d'abord comme on dit, hein, en tout cas c'est pas ça qui va lui donner mauvaise réputation à mes yeux, allez, bougeons-nous, c'est par là" Main dans la main (oui oui, c'est la coutume), ils se rendent donc dans le bar du sieur Brassens sur la rive-ouest. A leur arrivée, le sympathique tenancier fumait la pipe ("pipe" semblant signifier mensonge au Canada francophone, je tiens à préciser que Magritte avait raison) devant sa modeste auberge, il les accueillit le couple insolite d'une voix bourue. "- Bienv'nue les gars. Vous v'là bien guillerets, que venez-vous faire de beau ici? Présente moi donc ton ami, Barnabé!" "- Oh, mon pagnon-com yageait-voi dans le grand rre-ve quand il m'a terpellé-in me mandant-de une ce-pla allante-accuei pour re-boi un coup. Je drai-vou bien un te-pit fé-ca, et pour mon te-po ça ra-se un jus de vet-na, plait-te-s'il. Ah, et puis une te-gou de va-cal dans le fé-ca si c'est sible-pos." "- C'est parti mon kiki (oui, tout le monde imagine Brassens en train de dire cela), j'vous sers ça sur le ponton. Installez-vous et je vous rejoins presto. Vu qu'y a pas l'air d'avoir grand-monde pour l'instant, on pourra peut-être se faire un boeuf." Ils posèrent donc leur derrière (euh, c'est quoi le derrière d'un pois-chiche ?) sur des chaises en cure-dent et se mirent à parler de fléchettes, de jazz ainsi que de la pizza quatre-olives et de sa place dans les expériences de mort imminente chez un enfant de deux jours volé dans une maternité. Ils trinquèrent ensuite à la vie et aux tabourets en plastique bleu, au soleil et aussi aux bruits qu'on entend parfois en s'endormant, avant de roter virilement en passage de belles poupées barbie sur la plage. | |
| | | Thuro
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| Sujet: Re: Continuez l'histoire, le re-retour ! (L'heureux ? Ahah.) Mer 10 Déc - 9:27 | |
| Il était une fois, un pois-chiche bleu. Doté de parole et de belles dents jaunâtres parce qu'il abusait un peu du café et des chiques à la salsepareille. Il péchait dans un verre d'eau quand soudain quelque chose attira son attention à la surface de la fraiche étendue liquide. Un bouchon de Ricard flottait avec à son bord un mille-pattes tenant un petit parasol de décoration de cocktails et un bretzel. Notre pois chiche, Bruno-Barnabé -nous l'appellerons ainsi par convention- agita un petit mouchoir à pois roses et entreprit de communiquer avec cet invité incongru. "- Lut-sa l'ger-étran. Quel bon vent te te-por squ'à-ju moi ?" (B-B avait en effet quelques problèmes syntaxiques qu'il ne vaut mieux pas chercher à comprendre, se-lai bé-ton quoi!) "- Holà, pécheur de moules, voudrais-tu m'indiquer la direction du plus proche bar-salsepareille? j'ai comme qui dirait le gosier qui m'chatouille. Et l'ami bretzel aimerait bien tremper le biscuit dans un petit verre de jus de navet maison (dans quoi pensiez vous qu'il allait tremper le biscuit, répugnants lecteurs?) comme on en fait paraît-il dans le coin." "- Allez donc chez Brassens, c'est un ami. J'vais vous accompagner d'ailleurs, il nous fera un prix parce que les copains d'abord comme on dit, hein, en tout cas c'est pas ça qui va lui donner mauvaise réputation à mes yeux, allez, bougeons-nous, c'est par là" Main dans la main (oui oui, c'est la coutume), ils se rendent donc dans le bar du sieur Brassens sur la rive-ouest. A leur arrivée, le sympathique tenancier fumait la pipe ("pipe" semblant signifier mensonge au Canada francophone, je tiens à préciser que Magritte avait raison) devant sa modeste auberge, il les accueillit le couple insolite d'une voix bourue. "- Bienv'nue les gars. Vous v'là bien guillerets, que venez-vous faire de beau ici? Présente moi donc ton ami, Barnabé!" "- Oh, mon pagnon-com yageait-voi dans le grand rre-ve quand il m'a terpellé-in me mandant-de une ce-pla allante-accuei pour re-boi un coup. Je drai-vou bien un te-pit fé-ca, et pour mon te-po ça ra-se un jus de vet-na, plait-te-s'il. Ah, et puis une te-gou de va-cal dans le fé-ca si c'est sible-pos." "- C'est parti mon kiki (oui, tout le monde imagine Brassens en train de dire cela), j'vous sers ça sur le ponton. Installez-vous et je vous rejoins presto. Vu qu'y a pas l'air d'avoir grand-monde pour l'instant, on pourra peut-être se faire un boeuf." Ils posèrent donc leur derrière (euh, c'est quoi le derrière d'un pois-chiche ?) sur des chaises en cure-dent et se mirent à parler de fléchettes, de jazz ainsi que de la pizza quatre-olives et de sa place dans les expériences de mort imminente chez un enfant de deux jours volé dans une maternité. Ils trinquèrent ensuite à la vie et aux tabourets en plastique bleu, au soleil et aussi aux bruits qu'on entend parfois en s'endormant, avant de roter virilement en passage de belles poupées barbie sur la plage. Le soleil commençant à être franchement bas sur l'horizon, Brassens les rejoignit avec sa mandoline, et tous ensemble ils... | |
| | | Pomponette
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| Sujet: Re: Continuez l'histoire, le re-retour ! (L'heureux ? Ahah.) Mer 10 Déc - 9:37 | |
| Il était une fois, un pois-chiche bleu. Doté de parole et de belles dents jaunâtres parce qu'il abusait un peu du café et des chiques à la salsepareille. Il péchait dans un verre d'eau quand soudain quelque chose attira son attention à la surface de la fraiche étendue liquide. Un bouchon de Ricard flottait avec à son bord un mille-pattes tenant un petit parasol de décoration de cocktails et un bretzel. Notre pois chiche, Bruno-Barnabé -nous l'appellerons ainsi par convention- agita un petit mouchoir à pois roses et entreprit de communiquer avec cet invité incongru. "- Lut-sa l'ger-étran. Quel bon vent te te-por squ'à-ju moi ?" (B-B avait en effet quelques problèmes syntaxiques qu'il ne vaut mieux pas chercher à comprendre, se-lai bé-ton quoi!) "- Holà, pécheur de moules, voudrais-tu m'indiquer la direction du plus proche bar-salsepareille? j'ai comme qui dirait le gosier qui m'chatouille. Et l'ami bretzel aimerait bien tremper le biscuit dans un petit verre de jus de navet maison (dans quoi pensiez vous qu'il allait tremper le biscuit, répugnants lecteurs?) comme on en fait paraît-il dans le coin." "- Allez donc chez Brassens, c'est un ami. J'vais vous accompagner d'ailleurs, il nous fera un prix parce que les copains d'abord comme on dit, hein, en tout cas c'est pas ça qui va lui donner mauvaise réputation à mes yeux, allez, bougeons-nous, c'est par là" Main dans la main (oui oui, c'est la coutume), ils se rendent donc dans le bar du sieur Brassens sur la rive-ouest. A leur arrivée, le sympathique tenancier fumait la pipe ("pipe" semblant signifier mensonge au Canada francophone, je tiens à préciser que Magritte avait raison) devant sa modeste auberge, il les accueillit le couple insolite d'une voix bourue. "- Bienv'nue les gars. Vous v'là bien guillerets, que venez-vous faire de beau ici? Présente moi donc ton ami, Barnabé!" "- Oh, mon pagnon-com yageait-voi dans le grand rre-ve quand il m'a terpellé-in me mandant-de une ce-pla allante-accuei pour re-boi un coup. Je drai-vou bien un te-pit fé-ca, et pour mon te-po ça ra-se un jus de vet-na, plait-te-s'il. Ah, et puis une te-gou de va-cal dans le fé-ca si c'est sible-pos." "- C'est parti mon kiki (oui, tout le monde imagine Brassens en train de dire cela), j'vous sers ça sur le ponton. Installez-vous et je vous rejoins presto. Vu qu'y a pas l'air d'avoir grand-monde pour l'instant, on pourra peut-être se faire un boeuf." Ils posèrent donc leur derrière (euh, c'est quoi le derrière d'un pois-chiche ?) sur des chaises en cure-dent et se mirent à parler de fléchettes, de jazz ainsi que de la pizza quatre-olives et de sa place dans les expériences de mort imminente chez un enfant de deux jours volé dans une maternité. Ils trinquèrent ensuite à la vie et aux tabourets en plastique bleu, au soleil et aussi aux bruits qu'on entend parfois en s'endormant, avant de roter virilement en passage de belles poupées barbie sur la plage. Le soleil commençant à être franchement bas sur l'horizon, Brassens les rejoignit avec sa mandoline, et tous ensemble ils chantèrent cette complainte : "Le temps ne fait rien à l'affaire. Quand on est con, on est con ! Qu'on ait 20 ans, qu'on soit grand-père, quand on est con, on est con ! Entre vous plus de controverses, cons caduques ou cons débutants. Petits cons de la dernière averse, vieux cons des neiges d'antan !" | |
| | | Thuro
Nombre de messages : 37 Localisation : Ici Date d'inscription : 08/12/2008
| Sujet: Re: Continuez l'histoire, le re-retour ! (L'heureux ? Ahah.) Mer 10 Déc - 9:39 | |
| Il était une fois, un pois-chiche bleu. Doté de parole et de belles dents jaunâtres parce qu'il abusait un peu du café et des chiques à la salsepareille. Il péchait dans un verre d'eau quand soudain quelque chose attira son attention à la surface de la fraiche étendue liquide. Un bouchon de Ricard flottait avec à son bord un mille-pattes tenant un petit parasol de décoration de cocktails et un bretzel. Notre pois chiche, Bruno-Barnabé -nous l'appellerons ainsi par convention- agita un petit mouchoir à pois roses et entreprit de communiquer avec cet invité incongru. "- Lut-sa l'ger-étran. Quel bon vent te te-por squ'à-ju moi ?" (B-B avait en effet quelques problèmes syntaxiques qu'il ne vaut mieux pas chercher à comprendre, se-lai bé-ton quoi!) "- Holà, pécheur de moules, voudrais-tu m'indiquer la direction du plus proche bar-salsepareille? j'ai comme qui dirait le gosier qui m'chatouille. Et l'ami bretzel aimerait bien tremper le biscuit dans un petit verre de jus de navet maison (dans quoi pensiez vous qu'il allait tremper le biscuit, répugnants lecteurs?) comme on en fait paraît-il dans le coin." "- Allez donc chez Brassens, c'est un ami. J'vais vous accompagner d'ailleurs, il nous fera un prix parce que les copains d'abord comme on dit, hein, en tout cas c'est pas ça qui va lui donner mauvaise réputation à mes yeux, allez, bougeons-nous, c'est par là" Main dans la main (oui oui, c'est la coutume), ils se rendent donc dans le bar du sieur Brassens sur la rive-ouest. A leur arrivée, le sympathique tenancier fumait la pipe ("pipe" semblant signifier mensonge au Canada francophone, je tiens à préciser que Magritte avait raison) devant sa modeste auberge, il les accueillit le couple insolite d'une voix bourue. "- Bienv'nue les gars. Vous v'là bien guillerets, que venez-vous faire de beau ici? Présente moi donc ton ami, Barnabé!" "- Oh, mon pagnon-com yageait-voi dans le grand rre-ve quand il m'a terpellé-in me mandant-de une ce-pla allante-accuei pour re-boi un coup. Je drai-vou bien un te-pit fé-ca, et pour mon te-po ça ra-se un jus de vet-na, plait-te-s'il. Ah, et puis une te-gou de va-cal dans le fé-ca si c'est sible-pos." "- C'est parti mon kiki (oui, tout le monde imagine Brassens en train de dire cela), j'vous sers ça sur le ponton. Installez-vous et je vous rejoins presto. Vu qu'y a pas l'air d'avoir grand-monde pour l'instant, on pourra peut-être se faire un boeuf." Ils posèrent donc leur derrière (euh, c'est quoi le derrière d'un pois-chiche ?) sur des chaises en cure-dent et se mirent à parler de fléchettes, de jazz ainsi que de la pizza quatre-olives et de sa place dans les expériences de mort imminente chez un enfant de deux jours volé dans une maternité. Ils trinquèrent ensuite à la vie et aux tabourets en plastique bleu, au soleil et aussi aux bruits qu'on entend parfois en s'endormant, avant de roter virilement en passage de belles poupées barbie sur la plage. Le soleil commençant à être franchement bas sur l'horizon, Brassens les rejoignit avec sa mandoline, et tous ensemble ils chantèrent cette complainte : "Le temps ne fait rien à l'affaire. Quand on est con, on est con ! Qu'on ait 20 ans, qu'on soit grand-père, quand on est con, on est con ! Entre vous plus de controverses, cons caduques ou cons débutants. Petits cons de la dernière averse, vieux cons des neiges d'antan !" Il chantèrent longtemps, et à un moment eurent sommeil. L'ami bretzel avait parcouru plusieurs miles à la surface du verre d'eau et n'avait pas d'endroit ou passer la nuit, Barnabé... | |
| | | Pomponette
Nombre de messages : 119 Age : 35 Localisation : sur sa chaise et un objet spécial (LIMBI EST UN BÂTARD.) Date d'inscription : 06/12/2008
| Sujet: Re: Continuez l'histoire, le re-retour ! (L'heureux ? Ahah.) Mer 10 Déc - 9:49 | |
| Il était une fois, un pois-chiche bleu. Doté de parole et de belles dents jaunâtres parce qu'il abusait un peu du café et des chiques à la salsepareille. Il péchait dans un verre d'eau quand soudain quelque chose attira son attention à la surface de la fraiche étendue liquide. Un bouchon de Ricard flottait avec à son bord un mille-pattes tenant un petit parasol de décoration de cocktails et un bretzel. Notre pois chiche, Bruno-Barnabé -nous l'appellerons ainsi par convention- agita un petit mouchoir à pois roses et entreprit de communiquer avec cet invité incongru. "- Lut-sa l'ger-étran. Quel bon vent te te-por squ'à-ju moi ?" (B-B avait en effet quelques problèmes syntaxiques qu'il ne vaut mieux pas chercher à comprendre, se-lai bé-ton quoi!) "- Holà, pécheur de moules, voudrais-tu m'indiquer la direction du plus proche bar-salsepareille? j'ai comme qui dirait le gosier qui m'chatouille. Et l'ami bretzel aimerait bien tremper le biscuit dans un petit verre de jus de navet maison (dans quoi pensiez vous qu'il allait tremper le biscuit, répugnants lecteurs?) comme on en fait paraît-il dans le coin." "- Allez donc chez Brassens, c'est un ami. J'vais vous accompagner d'ailleurs, il nous fera un prix parce que les copains d'abord comme on dit, hein, en tout cas c'est pas ça qui va lui donner mauvaise réputation à mes yeux, allez, bougeons-nous, c'est par là" Main dans la main (oui oui, c'est la coutume), ils se rendent donc dans le bar du sieur Brassens sur la rive-ouest. A leur arrivée, le sympathique tenancier fumait la pipe ("pipe" semblant signifier mensonge au Canada francophone, je tiens à préciser que Magritte avait raison) devant sa modeste auberge, il les accueillit le couple insolite d'une voix bourue. "- Bienv'nue les gars. Vous v'là bien guillerets, que venez-vous faire de beau ici? Présente moi donc ton ami, Barnabé!" "- Oh, mon pagnon-com yageait-voi dans le grand rre-ve quand il m'a terpellé-in me mandant-de une ce-pla allante-accuei pour re-boi un coup. Je drai-vou bien un te-pit fé-ca, et pour mon te-po ça ra-se un jus de vet-na, plait-te-s'il. Ah, et puis une te-gou de va-cal dans le fé-ca si c'est sible-pos." "- C'est parti mon kiki (oui, tout le monde imagine Brassens en train de dire cela), j'vous sers ça sur le ponton. Installez-vous et je vous rejoins presto. Vu qu'y a pas l'air d'avoir grand-monde pour l'instant, on pourra peut-être se faire un boeuf." Ils posèrent donc leur derrière (euh, c'est quoi le derrière d'un pois-chiche ?) sur des chaises en cure-dent et se mirent à parler de fléchettes, de jazz ainsi que de la pizza quatre-olives et de sa place dans les expériences de mort imminente chez un enfant de deux jours volé dans une maternité. Ils trinquèrent ensuite à la vie et aux tabourets en plastique bleu, au soleil et aussi aux bruits qu'on entend parfois en s'endormant, avant de roter virilement en passage de belles poupées barbie sur la plage. Le soleil commençant à être franchement bas sur l'horizon, Brassens les rejoignit avec sa mandoline, et tous ensemble ils chantèrent cette complainte : "Le temps ne fait rien à l'affaire. Quand on est con, on est con ! Qu'on ait 20 ans, qu'on soit grand-père, quand on est con, on est con ! Entre vous plus de controverses, cons caduques ou cons débutants. Petits cons de la dernière averse, vieux cons des neiges d'antan !" Il chantèrent longtemps, et à un moment eurent sommeil. L'ami bretzel avait parcouru plusieurs miles à la surface du verre d'eau et n'avait pas d'endroit ou passer la nuit. Barnabé lui proposa alors de venir faire l'after dans son humble demeure faites de coquilles d'huîtres et... | |
| | | Thuro
Nombre de messages : 37 Localisation : Ici Date d'inscription : 08/12/2008
| Sujet: Re: Continuez l'histoire, le re-retour ! (L'heureux ? Ahah.) Mer 10 Déc - 10:03 | |
| Il était une fois, un pois-chiche bleu. Doté de parole et de belles dents jaunâtres parce qu'il abusait un peu du café et des chiques à la salsepareille. Il péchait dans un verre d'eau quand soudain quelque chose attira son attention à la surface de la fraiche étendue liquide. Un bouchon de Ricard flottait avec à son bord un mille-pattes tenant un petit parasol de décoration de cocktails et un bretzel. Notre pois chiche, Bruno-Barnabé -nous l'appellerons ainsi par convention- agita un petit mouchoir à pois roses et entreprit de communiquer avec cet invité incongru. "- Lut-sa l'ger-étran. Quel bon vent te te-por squ'à-ju moi ?" (B-B avait en effet quelques problèmes syntaxiques qu'il ne vaut mieux pas chercher à comprendre, se-lai bé-ton quoi!) "- Holà, pécheur de moules, voudrais-tu m'indiquer la direction du plus proche bar-salsepareille? j'ai comme qui dirait le gosier qui m'chatouille. Et l'ami bretzel aimerait bien tremper le biscuit dans un petit verre de jus de navet maison (dans quoi pensiez vous qu'il allait tremper le biscuit, répugnants lecteurs?) comme on en fait paraît-il dans le coin." "- Allez donc chez Brassens, c'est un ami. J'vais vous accompagner d'ailleurs, il nous fera un prix parce que les copains d'abord comme on dit, hein, en tout cas c'est pas ça qui va lui donner mauvaise réputation à mes yeux, allez, bougeons-nous, c'est par là" Main dans la main (oui oui, c'est la coutume), ils se rendent donc dans le bar du sieur Brassens sur la rive-ouest. A leur arrivée, le sympathique tenancier fumait la pipe ("pipe" semblant signifier mensonge au Canada francophone, je tiens à préciser que Magritte avait raison) devant sa modeste auberge, il les accueillit le couple insolite d'une voix bourue. "- Bienv'nue les gars. Vous v'là bien guillerets, que venez-vous faire de beau ici? Présente moi donc ton ami, Barnabé!" "- Oh, mon pagnon-com yageait-voi dans le grand rre-ve quand il m'a terpellé-in me mandant-de une ce-pla allante-accuei pour re-boi un coup. Je drai-vou bien un te-pit fé-ca, et pour mon te-po ça ra-se un jus de vet-na, plait-te-s'il. Ah, et puis une te-gou de va-cal dans le fé-ca si c'est sible-pos." "- C'est parti mon kiki (oui, tout le monde imagine Brassens en train de dire cela), j'vous sers ça sur le ponton. Installez-vous et je vous rejoins presto. Vu qu'y a pas l'air d'avoir grand-monde pour l'instant, on pourra peut-être se faire un boeuf." Ils posèrent donc leur derrière (euh, c'est quoi le derrière d'un pois-chiche ?) sur des chaises en cure-dent et se mirent à parler de fléchettes, de jazz ainsi que de la pizza quatre-olives et de sa place dans les expériences de mort imminente chez un enfant de deux jours volé dans une maternité. Ils trinquèrent ensuite à la vie et aux tabourets en plastique bleu, au soleil et aussi aux bruits qu'on entend parfois en s'endormant, avant de roter virilement en passage de belles poupées barbie sur la plage. Le soleil commençant à être franchement bas sur l'horizon, Brassens les rejoignit avec sa mandoline, et tous ensemble ils chantèrent cette complainte : "Le temps ne fait rien à l'affaire. Quand on est con, on est con ! Qu'on ait 20 ans, qu'on soit grand-père, quand on est con, on est con ! Entre vous plus de controverses, cons caduques ou cons débutants. Petits cons de la dernière averse, vieux cons des neiges d'antan !" Il chantèrent longtemps, et à un moment eurent sommeil. L'ami bretzel avait parcouru plusieurs miles à la surface du verre d'eau et n'avait pas d'endroit ou passer la nuit. Barnabé lui proposa alors de venir faire l'after dans son humble demeure faites de coquilles d'huîtres et de couvercles de Häagen-Daas. Il reprirent le chemin de l'aller, et arrivèrent en peu de temps à la demeure cossue mais odorante de B-Barnabé... | |
| | | Pomponette
Nombre de messages : 119 Age : 35 Localisation : sur sa chaise et un objet spécial (LIMBI EST UN BÂTARD.) Date d'inscription : 06/12/2008
| Sujet: Re: Continuez l'histoire, le re-retour ! (L'heureux ? Ahah.) Mer 10 Déc - 10:16 | |
| Il était une fois, un pois-chiche bleu. Doté de parole et de belles dents jaunâtres parce qu'il abusait un peu du café et des chiques à la salsepareille. Il péchait dans un verre d'eau quand soudain quelque chose attira son attention à la surface de la fraiche étendue liquide. Un bouchon de Ricard flottait avec à son bord un mille-pattes tenant un petit parasol de décoration de cocktails et un bretzel. Notre pois chiche, Bruno-Barnabé -nous l'appellerons ainsi par convention- agita un petit mouchoir à pois roses et entreprit de communiquer avec cet invité incongru. "- Lut-sa l'ger-étran. Quel bon vent te te-por squ'à-ju moi ?" (B-B avait en effet quelques problèmes syntaxiques qu'il ne vaut mieux pas chercher à comprendre, se-lai bé-ton quoi!) "- Holà, pécheur de moules, voudrais-tu m'indiquer la direction du plus proche bar-salsepareille? j'ai comme qui dirait le gosier qui m'chatouille. Et l'ami bretzel aimerait bien tremper le biscuit dans un petit verre de jus de navet maison (dans quoi pensiez vous qu'il allait tremper le biscuit, répugnants lecteurs?) comme on en fait paraît-il dans le coin." "- Allez donc chez Brassens, c'est un ami. J'vais vous accompagner d'ailleurs, il nous fera un prix parce que les copains d'abord comme on dit, hein, en tout cas c'est pas ça qui va lui donner mauvaise réputation à mes yeux, allez, bougeons-nous, c'est par là" Main dans la main (oui oui, c'est la coutume), ils se rendent donc dans le bar du sieur Brassens sur la rive-ouest. A leur arrivée, le sympathique tenancier fumait la pipe ("pipe" semblant signifier mensonge au Canada francophone, je tiens à préciser que Magritte avait raison) devant sa modeste auberge, il les accueillit le couple insolite d'une voix bourue. "- Bienv'nue les gars. Vous v'là bien guillerets, que venez-vous faire de beau ici? Présente moi donc ton ami, Barnabé!" "- Oh, mon pagnon-com yageait-voi dans le grand rre-ve quand il m'a terpellé-in me mandant-de une ce-pla allante-accuei pour re-boi un coup. Je drai-vou bien un te-pit fé-ca, et pour mon te-po ça ra-se un jus de vet-na, plait-te-s'il. Ah, et puis une te-gou de va-cal dans le fé-ca si c'est sible-pos." "- C'est parti mon kiki (oui, tout le monde imagine Brassens en train de dire cela), j'vous sers ça sur le ponton. Installez-vous et je vous rejoins presto. Vu qu'y a pas l'air d'avoir grand-monde pour l'instant, on pourra peut-être se faire un boeuf." Ils posèrent donc leur derrière (euh, c'est quoi le derrière d'un pois-chiche ?) sur des chaises en cure-dent et se mirent à parler de fléchettes, de jazz ainsi que de la pizza quatre-olives et de sa place dans les expériences de mort imminente chez un enfant de deux jours volé dans une maternité. Ils trinquèrent ensuite à la vie et aux tabourets en plastique bleu, au soleil et aussi aux bruits qu'on entend parfois en s'endormant, avant de roter virilement en passage de belles poupées barbie sur la plage. Le soleil commençant à être franchement bas sur l'horizon, Brassens les rejoignit avec sa mandoline, et tous ensemble ils chantèrent cette complainte : "Le temps ne fait rien à l'affaire. Quand on est con, on est con ! Qu'on ait 20 ans, qu'on soit grand-père, quand on est con, on est con ! Entre vous plus de controverses, cons caduques ou cons débutants. Petits cons de la dernière averse, vieux cons des neiges d'antan !" Il chantèrent longtemps, et à un moment eurent sommeil. L'ami bretzel avait parcouru plusieurs miles à la surface du verre d'eau et n'avait pas d'endroit ou passer la nuit. Barnabé lui proposa alors de venir faire l'after dans son humble demeure faites de coquilles d'huîtres et de couvercles de Häagen-Daas. Il reprirent le chemin de l'aller, et arrivèrent en peu de temps à la demeure cossue mais odorante de B-Barnabé quand un coulis de fraise emporta les compagnons dans le pudding de Mamie. | |
| | | ptite-quiche
Nombre de messages : 25 Age : 34 Date d'inscription : 07/12/2008
| Sujet: Re: Continuez l'histoire, le re-retour ! (L'heureux ? Ahah.) Mer 10 Déc - 20:38 | |
| Il était une fois, un pois-chiche bleu. Doté de parole et de belles dents jaunâtres parce qu'il abusait un peu du café et des chiques à la salsepareille. Il péchait dans un verre d'eau quand soudain quelque chose attira son attention à la surface de la fraiche étendue liquide. Un bouchon de Ricard flottait avec à son bord un mille-pattes tenant un petit parasol de décoration de cocktails et un bretzel. Notre pois chiche, Bruno-Barnabé -nous l'appellerons ainsi par convention- agita un petit mouchoir à pois roses et entreprit de communiquer avec cet invité incongru. "- Lut-sa l'ger-étran. Quel bon vent te te-por squ'à-ju moi ?" (B-B avait en effet quelques problèmes syntaxiques qu'il ne vaut mieux pas chercher à comprendre, se-lai bé-ton quoi!) "- Holà, pécheur de moules, voudrais-tu m'indiquer la direction du plus proche bar-salsepareille? j'ai comme qui dirait le gosier qui m'chatouille. Et l'ami bretzel aimerait bien tremper le biscuit dans un petit verre de jus de navet maison (dans quoi pensiez vous qu'il allait tremper le biscuit, répugnants lecteurs?) comme on en fait paraît-il dans le coin." "- Allez donc chez Brassens, c'est un ami. J'vais vous accompagner d'ailleurs, il nous fera un prix parce que les copains d'abord comme on dit, hein, en tout cas c'est pas ça qui va lui donner mauvaise réputation à mes yeux, allez, bougeons-nous, c'est par là" Main dans la main (oui oui, c'est la coutume), ils se rendent donc dans le bar du sieur Brassens sur la rive-ouest. A leur arrivée, le sympathique tenancier fumait la pipe ("pipe" semblant signifier mensonge au Canada francophone, je tiens à préciser que Magritte avait raison) devant sa modeste auberge, il les accueillit le couple insolite d'une voix bourue. "- Bienv'nue les gars. Vous v'là bien guillerets, que venez-vous faire de beau ici? Présente moi donc ton ami, Barnabé!" "- Oh, mon pagnon-com yageait-voi dans le grand rre-ve quand il m'a terpellé-in me mandant-de une ce-pla allante-accuei pour re-boi un coup. Je drai-vou bien un te-pit fé-ca, et pour mon te-po ça ra-se un jus de vet-na, plait-te-s'il. Ah, et puis une te-gou de va-cal dans le fé-ca si c'est sible-pos." "- C'est parti mon kiki (oui, tout le monde imagine Brassens en train de dire cela), j'vous sers ça sur le ponton. Installez-vous et je vous rejoins presto. Vu qu'y a pas l'air d'avoir grand-monde pour l'instant, on pourra peut-être se faire un boeuf." Ils posèrent donc leur derrière (euh, c'est quoi le derrière d'un pois-chiche ?) sur des chaises en cure-dent et se mirent à parler de fléchettes, de jazz ainsi que de la pizza quatre-olives et de sa place dans les expériences de mort imminente chez un enfant de deux jours volé dans une maternité. Ils trinquèrent ensuite à la vie et aux tabourets en plastique bleu, au soleil et aussi aux bruits qu'on entend parfois en s'endormant, avant de roter virilement en passage de belles poupées barbie sur la plage. Le soleil commençant à être franchement bas sur l'horizon, Brassens les rejoignit avec sa mandoline, et tous ensemble ils chantèrent cette complainte : "Le temps ne fait rien à l'affaire. Quand on est con, on est con ! Qu'on ait 20 ans, qu'on soit grand-père, quand on est con, on est con ! Entre vous plus de controverses, cons caduques ou cons débutants. Petits cons de la dernière averse, vieux cons des neiges d'antan !" Il chantèrent longtemps, et à un moment eurent sommeil. L'ami bretzel avait parcouru plusieurs miles à la surface du verre d'eau et n'avait pas d'endroit ou passer la nuit. Barnabé lui proposa alors de venir faire l'after dans son humble demeure faites de coquilles d'huîtres et de couvercles de Häagen-Daas. Il reprirent le chemin de l'aller, et arrivèrent en peu de temps à la demeure cossue mais odorante de B-Barnabé quand un coulis de fraise emporta les compagnons dans le pudding de Mamie.paniqués ils se mirent a crier : " | |
| | | Pomponette
Nombre de messages : 119 Age : 35 Localisation : sur sa chaise et un objet spécial (LIMBI EST UN BÂTARD.) Date d'inscription : 06/12/2008
| Sujet: Re: Continuez l'histoire, le re-retour ! (L'heureux ? Ahah.) Ven 12 Déc - 16:40 | |
| Il était une fois, un pois-chiche bleu. Doté de parole et de belles dents jaunâtres parce qu'il abusait un peu du café et des chiques à la salsepareille. Il péchait dans un verre d'eau quand soudain quelque chose attira son attention à la surface de la fraiche étendue liquide. Un bouchon de Ricard flottait avec à son bord un mille-pattes tenant un petit parasol de décoration de cocktails et un bretzel. Notre pois chiche, Bruno-Barnabé -nous l'appellerons ainsi par convention- agita un petit mouchoir à pois roses et entreprit de communiquer avec cet invité incongru. "- Lut-sa l'ger-étran. Quel bon vent te te-por squ'à-ju moi ?" (B-B avait en effet quelques problèmes syntaxiques qu'il ne vaut mieux pas chercher à comprendre, se-lai bé-ton quoi!) "- Holà, pécheur de moules, voudrais-tu m'indiquer la direction du plus proche bar-salsepareille? j'ai comme qui dirait le gosier qui m'chatouille. Et l'ami bretzel aimerait bien tremper le biscuit dans un petit verre de jus de navet maison (dans quoi pensiez vous qu'il allait tremper le biscuit, répugnants lecteurs?) comme on en fait paraît-il dans le coin." "- Allez donc chez Brassens, c'est un ami. J'vais vous accompagner d'ailleurs, il nous fera un prix parce que les copains d'abord comme on dit, hein, en tout cas c'est pas ça qui va lui donner mauvaise réputation à mes yeux, allez, bougeons-nous, c'est par là" Main dans la main (oui oui, c'est la coutume), ils se rendent donc dans le bar du sieur Brassens sur la rive-ouest. A leur arrivée, le sympathique tenancier fumait la pipe ("pipe" semblant signifier mensonge au Canada francophone, je tiens à préciser que Magritte avait raison) devant sa modeste auberge, il les accueillit le couple insolite d'une voix bourue. "- Bienv'nue les gars. Vous v'là bien guillerets, que venez-vous faire de beau ici? Présente moi donc ton ami, Barnabé!" "- Oh, mon pagnon-com yageait-voi dans le grand rre-ve quand il m'a terpellé-in me mandant-de une ce-pla allante-accuei pour re-boi un coup. Je drai-vou bien un te-pit fé-ca, et pour mon te-po ça ra-se un jus de vet-na, plait-te-s'il. Ah, et puis une te-gou de va-cal dans le fé-ca si c'est sible-pos." "- C'est parti mon kiki (oui, tout le monde imagine Brassens en train de dire cela), j'vous sers ça sur le ponton. Installez-vous et je vous rejoins presto. Vu qu'y a pas l'air d'avoir grand-monde pour l'instant, on pourra peut-être se faire un boeuf." Ils posèrent donc leur derrière (euh, c'est quoi le derrière d'un pois-chiche ?) sur des chaises en cure-dent et se mirent à parler de fléchettes, de jazz ainsi que de la pizza quatre-olives et de sa place dans les expériences de mort imminente chez un enfant de deux jours volé dans une maternité. Ils trinquèrent ensuite à la vie et aux tabourets en plastique bleu, au soleil et aussi aux bruits qu'on entend parfois en s'endormant, avant de roter virilement en passage de belles poupées barbie sur la plage. Le soleil commençant à être franchement bas sur l'horizon, Brassens les rejoignit avec sa mandoline, et tous ensemble ils chantèrent cette complainte : "Le temps ne fait rien à l'affaire. Quand on est con, on est con ! Qu'on ait 20 ans, qu'on soit grand-père, quand on est con, on est con ! Entre vous plus de controverses, cons caduques ou cons débutants. Petits cons de la dernière averse, vieux cons des neiges d'antan !" Il chantèrent longtemps, et à un moment eurent sommeil. L'ami bretzel avait parcouru plusieurs miles à la surface du verre d'eau et n'avait pas d'endroit ou passer la nuit. Barnabé lui proposa alors de venir faire l'after dans son humble demeure faites de coquilles d'huîtres et de couvercles de Häagen-Daas. Il reprirent le chemin de l'aller, et arrivèrent en peu de temps à la demeure cossue mais odorante de B-Barnabé quand un coulis de fraise emporta les compagnons dans le pudding de Mamie.paniqués ils se mirent a crier : " OSCOURS (dédicace à Pipi.), la fraise fait tomber enceinte !!!" | |
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